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La Maraîchine Normande
4 décembre 2018

LA FLOCELLIÈRE - SAINTE-FLAIVE-DES-LOUPS (85) BOISMÉ (79) - 1832 - CYPRIEN-RENÉ MORAND (1806 - 1883)

 

cimetière z

 

Le journal Le Gaulois, en date du 14 janvier 1883, annonce qu'il vient de mourir, à Sainte-Flaive-des-Loups, à l'âge de soixante-dix-neuf ans, un homme de bien que toute la Vendée aimait et estimait.

M. Morand fut un des vaillants Vendéens qui prirent part au soulèvement de 1832 ; il fut condamné à mort par contumace.

Après être resté deux ans caché en Anjou, il se présenta devant la cour d'assises de la Vendée, et fut, cette fois, acquitté.

Il était le dernier survivant des dix-sept Vendéens qui, à la même époque, furent condamnés à la peine capitale. (Le journal Le Gaulois - 14 janvier 1883)

Fleur-de-lis on Apple

JUSTICE CRIMINELLE
COUR D'ASSISES DE LA VENDÉE (BOURBON-VENDÉE)
Présidence de M. Bourgnon de Layre - 2e trimestre de 1834
CHOUANNERIE - MANOEUVRES DU PARTI LÉGITIMISTE

Cette cession est l'une des plus importantes qui ait eu lieu dans ce département, tant par sa durée que par la gravité et la nature des procès qui y ont été portés. Commencée le 14 avril, elle ne s'est terminée que le 30, et on y a jugé dix-neuf affaires politiques ou de chouannerie, se rapportant à plus de quarante accusés.

Le jury vendéen a, dans cette circonstance comme toujours, fait preuve d'impartialité, de fermeté et d'indépendance, tempérées par une sage humanité. Un assez grand nombre d'acquittements ont été prononcés, les preuves ayant disparu aux débats ; mais il est utile de signaler ici quelques manoeuvres qui ont amené ce résultat.

Comme on vient de le dire, beaucoup de procès politiques devaient recevoir décision ; presque tous étaient relatifs à des complots, attentats, vols ou excès à main armée, commis par des bandes de brigands parmi lesquels figuraient des réfractaires. Quelques-uns s'étaient constitués volontairement, et le parti carliste leur avait promis l'impunité. De là les manoeuvres les plus multipliées et les plus audacieuses pour arriver à ce résultat.

Dans ce genre d'affaires, les preuves principales devaient naturellement consister dans la reconnaissance des accusés par les personnes qu'ils avaient volées et maltraitées, et qui les avaient indiqués à la justice ; mais les témoins, effrayés par des menaces ou gagnés par d'autres moyens, sont, dans beaucoup d'affaires, venus démentir ou atténuer leurs premières déclarations, et le jury a dû acquitter. Des témoins eux-mêmes en sont convenus après les acquittements. D'un autre côté, il a été déposé publiquement que des ecclésiastiques usaient de leur influence pour empêcher les témoins de charger les chouans, et l'on sait que dans un pays fanatique, agité par les passions politiques et sillonné par des bandes de malfaiteurs prêts à tout faire, de semblables moyens doivent paralyser l'action de la justice.

On juge mal la Vendée de loin ; ce pays ne ressemble en rien au reste de la France, et ne sera pas tranquille et soumis aux lois de longtemps ; il paraît sommeiller en ce moment, mais son réveil peut être prompt et terrible ; l'esprit contre-révolutionnaire y est profondément enraciné, et la révolte complètement organisée, c'est un mal devenu endémique. Ceux qui proclament que la chouannerie est finie ne s'arrêtent qu'à l'écorce des choses ; c'est une décevante illusion ; la nature des affaires jugées aux assises le prouve.

JAMIN Jean (Pouzauges) et GROLLEAU Jacques (La Flocellière), réfractaires, accusés de complot, attentat, excitation à la guerre civile, etc., s'étaient constitués. Ils avaient constamment battu le pays depuis trois ans, et s'étaient livrés à tous les excès si malheureusement commis par les bandes ; mais ils n'ont plus été affirmativement reconnus par les témoins, qui les avaient parfaitement signalés dans le principe, et ils ont été ACQUITTÉS.

PRÉAUT Pierre (Saint-Michel-Mont-Mercure), REVEAU Pierre-Alexandre (Saint-Michel-Mont-Mercure) et deux autres, MASSÉ François  (Le Boupère) et RAPIN Auguste  (Le Boupère) faisaient partie des bandes séditieuses et du complot dont M. de Bagneux et d'autres gentilshommes des environs de Pouzauges étaient accusés d'être les chefs ou les auteurs. Les reconnaissances ont manqué, et ils ont été ACQUITTÉS, comme leurs chefs l'avaient été à une précédente session.

BOURON André (La Garnache), réfractaire, était accusé de vol à main armée en bande de huit individus, avec violences et excès, etc. Un malheureux maréchal, signalé comme patriote, avait été terrassé à coups de crosse de fusil, et blessé jusqu'à effusion de sang ; sa femme avait été traînée par les cheveux, ses boucles d'oreille arrachées et volées, ainsi qu'une montre et 30 francs. BOURON, parfaitement reconnu, n'avait pas personnellement exercé les actes de violence, et s'était constitué. Il a été condamné à CINQ ANS DE RÉCLUSION. Les témoins ne résident plus dans le pays, sans cela ils n'eussent osé parler.

AUDION Pierre-Louis (La Garnache), réfractaire, était accusé de vol de nuit, à main armée, chez un vieillard auquel, après toutes sortes de menaces et de mauvais traitements, on avait volé 380 fr. L'accusé était revenu et s'était constitué après avoir restitué 130 fr., prétendant qu'il avait seulement fait un emprunt à l'homme volé. Les circonstances aggravantes ayant été écartées, AUDION a été condamné à UN AN DE PRISON.

MARTINEAU, réfractaire, arrêté et blessé par la troupe dans une rencontre, était impliqué dans l'affaire du complot et attentat de Robert, du Marais, et en outre accusé d'un vol à main armée, commis en bande, en 1832, chez les frères Milsant (Milcent), à Saint-Jean-de-Mont. Reconnu coupable, il a été condamné à CINQ ANS DE TRAVAUX FORCÉS. C'était un des sous-ordres des plus entreprenants. Les carlistes lui portaient un vif intérêt, et l'avaient fait se pourvoir en suspicion légitime contre le jury vendéen.

Puis a comparu L'ARCHEVÊQUE François, soldat déserteur [dit le Sorcier, natif de Melun]. C'est un des hommes de la fameuse bande de Pienne, qui depuis trois ans exploite les environs de Bourbon-Vendée sans qu'on ait pu la détruire. Il s'agissait encore de complot, d'attentat, de vol à main armée, etc. L'accusé, après être resté six mois dans la bande, s'était soumis à la gendarmerie en 1833, et avait donné sur la situation de la bande de Pienne les renseignements les plus exacts, par suite desquels on avait découvert beaucoup d'armes, d'effets d'habillement, les contrôles et le drapeau de la bande, etc. Beaucoup de gentilshommes du pays étaient compromis, notamment MM. de Cornulier, de Surgères, etc. Le Tribunal de Bourbon-Vendée avait compris vingt-deux personnes dans ses poursuites, mais cinq seulement ont été accusées, et L'ARCHEVÊQUE était le seul présent. Il n'y avait contre lui que ses aveux, qu'on n'avait pas trouvé suffisants pour incriminer les autres ; il a été ACQUITTÉ. Les légitimistes auraient voulu qu'il fût condamné.

LES FRÈRES MORAND étaient accusés de complot et attentat. C'étaient des petits propriétaires de campagnes, figurant comme chefs subalternes dans l'accusation contre la Duchesse de Berri, et ayant pris part aux levées de bandes, en juin 1832, à la Gaubretière, Saint-Malo-du-Bois, etc. On avait fort intrigué pour faire disparaître les charges très graves qui s'élevaient contre eux ; ils ont été ACQUITTÉS.

HERBRETEAU Jean (Chauché) était accusé de vol à main armée, en bande, etc. Coullaud père et fils, cultivateurs, avaient, le 10 octobre 1833, été visités la nuit, par deux brigands armés, qui les avaient menacés et maltraités de coups, et leur avaient pris 652 fr., un fusil et un pistolet. HERBRETEAU était signalé comme le plus violent des deux ; mais les témoins, intimidés et craignant la vengeance d'autres maltraiteurs de leurs environs, n'ont pas osé être affirmatifs. Ils l'ont dit après l'acquittement. HERBRETEAU a été ACQUITTÉ ; il n'est pas réfractaire.

COUTENCEAU Pierre-François (La Garnache), réfractaire, était accusé de complot et d'attentat. Cet accusé, l'un des plus audacieux de la bande de Guyot et des Robert du Marais, qui ont été condamnés à des assises précédentes, a été parfaitement reconnu. La déposition d'un capitaine, qui avait été en cantonnement dans le pays, l'a accablé. Il a été condamné à CINQ ANS DE BANNISSEMENT. C'est un des malfaiteurs auquel les carlistes s'intéressaient le plus ; on l'avait fait se constituer, et un témoin grave avait été détourné de se rendre à l'audience ; il a été condamné à l'amende.

TROTTIN François, HERBRETEAU jean et YOU Augustin (tous trois de Chauché) étaient accusés d'avoir fait partie d'une association de malfaiteurs, d'attaques de vive force de la maison d'un maire, etc. Cette affaire fort grave a duré deux jours et une nuit ; les accusés n'étaient pas réfractaires, quoiqu'il pût y en avoir dans la bande : les deux derniers s'étaient constitués prisonniers.

Dans la nuit du 14 octobre 1833, le maire de Saint-André-Goule-d'Oie, patriote signalé aux chouans, qui déjà l'avaient visité antérieurement, fût attaqué vers onze heures du soir dans son domicile, situé au milieu du village, par une bande nombreuse, mais dont les trois accusés seuls avaient été signalés à la justice. L'attaque dura depuis ce moment jusques vers trois heures du matin ; plusieurs coups de fusil furent tirés, le maire et sa famille appelaient en vain à leur secours, un contrevent fut forcé, et la croisée brisée d'un coup de fusil ; enfin, cette malheureuse famille n'attendait plus que la mort après d'aussi longues angoisses, lorsqu'après le dernier coup de fusil tiré, et qui avait brisé la croisée, la bande se retira à un commandement de son chef. Cependant les inquiétudes du maire ne furent dissipées que longtemps après et lorsque le jour parut. Alors, on trouva, à l'extérieur de la maison, les débris d'un fusil qui avait éclaté, et des lambeaux de chair ainsi que beaucoup de traces de sang, et l'on en conclut justement, que l'explosion du dernier coup de fusil avait blessé et dispersé la bande.

Bientôt TROTTIN, qui antérieurement avait été domestique du maire, fut trouvé dans une ferme peu éloignée, il avait le poignet gauche emporté, il déclara que cette mutilation provenait d'un coup de fusil tiré par un brigand sur la maison du maire, et qu'il avait voulu détourner au moment où on le tirait ; il prétendit d'ailleurs qu'il avait été conduit par force à cette attaque, et ne nomma personne. Bientôt aussi, HERBRETEAU et YOU furent signalés à la justice pour avoir été deux des compagnons de TROTTIN. Aux débats, ils ont tous les trois été complètement reconnus par la famille Borderon, et des plaies fraichement cicatrisées ont été remarquées à la figure d'HERBRETEAU et à l'épaule de YOU, qui provenaient des éclats du fusil, TROTTIN a été condamné AUX TRAVAUX FORCÉS PERPÉTUELS AVEC EXPOSITION ; HERBRETEAU, a DIX ANS DE LA MÊME PEINE, et YOU à CINQ ANS DE RÉCLUSION.

Dans les débats, l'ancien maître d'école a été fortement compromis, ainsi que le curé lui-même, qu'on a signalé comme ayant passé la nuit derrière la porte de sa maison à attendre l'évènement, sans faire sonner le tocsin ou venir au secours du maire. Cette attaque durant quatre heures, avec un bruit épouvantable, au milieu d'un village, sans que personne vienne secourir le premier magistrat de la commune, vieillard sans défense, et qu'implorait vainement par ses cris l'assistance de ses voisins, est un évènement des plus caractéristiques, et qui indique énergiquement l'esprit des habitans du Bocage.

DUBIN François (La Gaubretière) et DURAND Jean-René (Les Épesses), réfractaires saisis par la troupe, étaient accusés de vols à main armée, en bandes, etc. Il s'agissait d'un vol de 150 francs, fait avec violence et menaces, chez un gentilhomme, nommé de Gourdeau, et qui ne partage pas les opinions de sa caste, aussi a-t-il été obligé de quitter le pays. Les accusés reconnus parfaitement, ont été condamnés chacun à CINQ ANS DE RÉCLUSION.

BONNECOUR, réfractaire, et ROBIN Jean-Baptiste (Rochetrejoux), accusés de deux vols différents, avec circonstances aggravantes, ont été acquittés, les témoins ne les ayant plus reconnus aux débats ; quant à MASSÉ et un autre ROBIN, aussi réfractaire, accusés de complot, d'attentat, etc, ils ont été condamnés, par application de l'art. 200 du Code pénal, à HUIT et à CINQ ANS DE SURVEILLANCE.

CHASSERIAU Jean-Louis (La Pommeraie-sur-Sèvre), JAMIN Jean (La Pommeraie-sur-Sèvre), GAUTHIER Jean-Baptiste (Saint-André-sur-Sèvre), GROLLEAU Jacques (La Flocellière), RAPPIN Auguste (Le Boupère), BARANGER Victor (Saint-Mesmin), JAROUSSEAU Pierre (Mouchamps), tous réfractaires depuis trois ans, et dont la plupart s'étaient constitués, étaient accusés d'avoir formé une association de malfaiteurs, et commis vingt vols avec armes, menaces, violences, actes de barbarie, etc.

Cette immense affaire, qui a donné lieu à la position d'environ 400 questions, est celle de toute la session à l'égard de laquelle le parti légitimiste a employé le plus de machinations pour faire avorter l'accusation, et il y a complètement réussi, les témoins n'ayant plus voulu reconnaître les accusés, qu'ils avaient d'abord exactement signalés dans l'instruction ; la conviction morale de la culpabilité était réellement acquise, les détails des crimes étaient épouvantables ; des malheureux avaient été jetés à diverses reprises sur des brasiers ardents, des femmes traînées par les cheveux ; mais en l'absence de preuves le jury a dû acquitter.

BARREAU Benjamin (Ardelay) était accusé d'attaque contre la force publique, de blessures, etc. Il s'agissait de l'attaque faite contre la gendarmerie des Herbiers, en tournée le 21 novembre 1832, dans laquelle le maréchal-des-logis Blivet eut le bras droit cassé, et que l'on a amputé par suite de cette blessure. BARREAU, jeune homme de dix-neuf ans, qui depuis la prise d'armes de 1832 est dans les bandes, et qui est accusé d'un assassinet qui sera jugé à la prochaine session, avait été indiqué comme ayant pris part à cette attaque ; il a été ACQUITTÉ. Il en a été de même d'un nommé ROBIN, réfractaire, accusé d'un vol de 2.000 francs fait en bande, etc. Il a été reconnu par un seul témoin, qui, à cause de son âge, n'a pas inspiré confiance entière au jury.

BÉTHY Pierre (Saint-Gervais), réfractaire, pris par les préposés des douanes, a été reconnu comme le chef d'une bande de six hommes armés, décorés de panaches blancs ; qui, au nom d'Henri V, avaient commis trois vols de nuit avec menaces de mort et d'incendie, effraction, violences, etc. Douze témoins reconnaissaient parfaitement l'accusé, qui a été condamné à DIX ANS DE RÉCLUSION.

MARTINEAU André-Aimé (Saint-Jean-de-Monts), déjà condamné à cinq ans de travaux forcés, a été en outre condamné à DIX AUTRES ANNÉES de la même peine et à L'EXPOSITION, pour un vol d'argent et de comestibles, fait en bande armée dont il était le chef, avec menaces et violences, pendant la nuit, etc. au préjudice d'un laboureur chez lequel il avait été domestique et qui, depuis qu'il était réfractaire, avait été fréquemment victime de ses déprédations.

Tel est l'ensemble des travaux de cette importante session ...

(La Gazette des Tribunaux - Jeudi 15 mai 1834 - n° 2727 - Neuvième année - Édition de Paris).

Fleur-de-lis on Apple

 

Cyprien-René MORAND (Morand aîné)
Fils de Cyprien-Joseph Morand, propriétaire, et de Marie-Thérèse Ravaud,
né à La Flocellière, le 4 mai 1806.

 

MORAND BOISMÉ zz

 

Frères et soeurs, tous nés à Saint-Malo-du-Bois : - Rose-Céleste, née, le 25 avril 1808 ; - Marie-Thérèse, née le 17 novembre 1809 ; - Henri-François, né le 24 mai 1811 ; - Ferdinand-Prosper, né le 12 mars 1814.

 

boismé clisson

 

Cyprien-René, "propriétaire, demeurant au château de Clisson" à Boismé, avait épousé Eulalie-Thérèse de Rangot, née aux Aubiers, à la Peronnière, le 19 mai 1815, fille de Jean-Félix de Rangot, propriétaire, demeurant à La Verrie,  et de Rose-Henriette-Eulalie Bonnin, mariés aux Aubiers le 15 février 1814.  [Jean-Félix de Rangot fut maire des Aubiers du mois de novembre 1842 jusqu'en juillet 1848] ;

dont 7 enfants, nés "au château de Clisson" à Boismé

- Marie-Henriette-Eulalie ; née le 15 mai 1841 ; décédée à Boismé, le 5 octobre 1842 ;

- Marie-Pauline-Alexandrine ; née le 30 juin 1843 ;

- Thérèse-Félicie-Rosalie ; née le 24 mars 1845 ;

- Marie-Louise-Adine-Euphrosie ; née le 6 octobre 1847 ; mariée le 25 septembre 1865 à Boismé avec Marie-Honoré-Charles-Edmond de Rangot, né à La Verrie, le 10 octobre 1839 ; décédée en 1930 ;

- Marie-Paul-Joseph ; né le 23 mars 1850 ; décédé le 13 juillet 1871, à l'âge de 20 ans huit mois et huit jours à Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne), étudiant en droit et soldat au 4ème régiment de Zouaves ;

- Marie-Magdeleine-Radegonde-Eulalie ; née le 14 janvier 1853 ;

- Louis-Victor-Paul-Eugène, né le 1er mars 1858 ; décédé à l'âge de 11 ans, à Boismé, le 12 mai 1869.

Après le décès du dernier enfant, en 1869, on retrouve Cyprien-René Morand "demeurant au bourg de Boismé" ; il est qualifié de propriétaire.

Il fut maire de Boismé du mois de septembre 1848 à septembre 1867.

Propriétaire au bourg de Sainte-Flaive-des-Loups, il y mourut le 10 janvier 1883.

MORAND DECES 3 z

Eulalie-Thérèse de Rangot est décédée à Boismé le 24 mai 1886. Le décès est déclaré par Arthur Mingaud, notaire aux Aubiers et gendre de la défunte.

RANGOT DE décès z

 

AD85 - Registres d'état-civil de La Flocellière et de Saint-Malo-du-Bois

AD79 - Registres d'état-civil de Boismé

 

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