Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La Maraîchine Normande
13 décembre 2022

BOUVIGNY-BOYEFFLES - AIX-NOULETTE (62) - FLORENT-JOSEPH DUQUESNOY, GÉNÉRAL DE DIVISION (1761 - 1801)

FLORENT-JOSEPH DUQUESNOY, GÉNÉRAL DE DIVISION

marqueffles ferme z


Fils de Jean-Joseph-Chrisostome Duquesnoy, fermier à Marqueffles (dépendances du château de Bouvigny), et de Antoinette-Françoise Lucas, Florent-Joseph est né à Bouvigny-Boyeffles, le 27 février 1761.

DUQUESNOY 1761 Florent-Joseph z

 

Florent-Joseph embrassa le métier des armes, fit les campagnes de la République et gagna ses grades à la pointe de l'épée. Son dossier militaire nous en dit plus : 

Description :

Taille de 5 pieds 5 pouces ; cheveux et sourcils châtains noirs ; yeux aussi noirs ; nez aquilin ; bouche moyenne, menton rond, front haut et couvert de ses cheveux ; visage ovale ; barbe longue et noire ; teint jaunâtre.

États de services :

- Carabinier, Compagnie Latour, le 10 mars 1782 ; s'est trouvé à l'affaire de Nancy en 1789 ; congédié le 10 mars 1790 ; entré à cette époque dans la Garde nationale ;

- Capitaine au 4e bataillon du Pas-de-Calais, le 28 janvier 1792 ;

- Capitaine au 4e bataillon de Chasseurs francs du Nord, le 16 novembre 1792 ; "a resté en cette qualité pendant huit mois, qu'il a, pendant ce temps, donné des preuves d'un bon citoyen et d'un vrai républicain et que sa bravoure ne l'a aidé en rien à ses autres vertus civiques ..." ;

 

duquesnoy_0010

 

- Général de brigade à l'armée du Nord, le 30 juillet 1793 ; il écrit : "J'ai reçu, citoyen ministre, le brevet de général de brigade que vous m'avez envoyé, ainsi que l'ordre du chef de l'état-major de l'Armée du Nord de me rendre au camp sous Cassel pour en prendre le commandement. Si je n'avois consulté que mes talents militaires, citoyen ministre, j'aurois refusé l'honneur de remplir les grandes et difficiles fonctions du généralat, mais en consultant mon désir d'être, de plus en plus, utile à la République et l'intention décidée où je suis, d'en affermir les bases de tous mes moyens, ou de m'ensevelir sous ses ruines si elle pouvoit être détruite, je n'ai plus consulté que mon zèle et j'ai accepté le grade auquel le pouvoir exécutif m'a élevé ; je pars pour en remplir les fonctions et aussitôt arrivé à mon poste, je vous en instruirai ..." (10 aoust 1793, l'an II de la République une et indivisible) ;

- Général de division à l'armée du Nord, le 3 septembre 1793 ; 

Le conventionnel Duquesnoy n'a pas approuvé la nomination de son frère au grade de général de division : "J'aurais désiré, écrit-il à Bouchotte, d'Arras, le 25 septembre, qu'avant de porter mon frère au grade de général de division vous m'ayez consulté, non pas que je doute de son civisme, mais parce que j'appréhende que ce grade soit au-dessus de ses forces."

Il commanda une division sous les ordres du général Jourdan à l'armée de Sambre-et-Meuse. Il s'y distingua en toute occasion, et particulièrement à Wattignies, aux journées des 15 et 16 octobre, dont le succès lui fut dû en grande partie. Sa division était désignée dans l'armée sous le nom de "la colonne infernale".

Déclaration du citoyen Bavoy, chirurgien sous-aide-major à l'armée du Nord, relative au général et au représentant Duquesnoy.

"Me trouvant un jour chez le général Duquesnoy à Beaumont, où je m'étais rendu pour voir le commissaire des guerres Vilain (?), un chirurgien major se présenta à l'effet de réclamer des secours pour les galleux de son bataillon. Le général Duquesnoy, conjointement avec son frère le représentant, loin de répondre aux demandes très justes du requérant, le prirent par le collet de l'habit et le conduisirent de cette manière à la porte en lui disant qu'il les ennuyait.

Au même instant arrive un officier d'un autre bataillon pour faire d'autres réclamations non moins justes. Je crois que c'était des effets tels que des bas, souliers et autres vêtements nécessaires aux soldats, eh bien ! il fut éconduit de la même manière. Cet événement a eu lieu il y a environ trois semaines à Beaumont, en ma présence de même qu'en présence du citoyen Le Bon, cy-devant aide de camp.
A Avesnes, le 11 frimaire l'an 2e de la République une et indivisible, (1er décembre 1793)

Signé Bavoy, ch.s.a.maj."

- Général de division à l'armée de l'Ouest, le 7 frimaire an II (27 novembre 1793) ;

Carnot qui l'avait en grande estime, l'avait fait charger par le Comité de Salut public (arrêté du 22 brumaire - 12 novembre) de conduire dans l'Ouest les 12.000 soldats éprouvés, tirés de l'armée du Nord, destinés, durant la campagne d'outre-Loire, à coopérer à l'écrasement rapide de la grande armée vendéenne. Ces hommes arrivèrent à Lisieux le 1er décembre et Duquesnoy fut obligé d'en laisser le commandement provisoire à son lieutenant Bonnaire, s'étant trouvé pris de maladie.

Le 11 frimaire an II (1er décembre 1793), il écrit de Lisieux au Ministre de la Guerre pour l'informer de son incapacité à reprendre le service ; "la suitte de ma maladie s'est tournée en emoragie de sang, qui m'oblige a garder le lit et toujours très faible, ne pouvant prendre que les remèdes nécessaires pour la guérison".

Le 12 nivôse an II (1er janvier 1794), toujours de Lisieux, il se dit guéri et attend ses ordres. Il doit alors se rendre à Montaigu, pour y prendre le commandement de la 1ère division de l'Armée de l'Ouest (le 5 février).

Duquesnoy se distingua par la violence avec laquelle il dirigea ses opérations en Vendée. En janvier 1794, Charette s'étant retiré, il eut l'ordre de le poursuivre. Le Vendéen s'arrêta dans la bourgade de Legé et s'y retrancha. Duquesnoy l'atteignit à peu de distance de cette ville et lui tua 800 hommes.

En février 1794, il commandait la colonne infernale n° 3 en remplacement du général Louis Bonnaire et sous les ordres du général en chef Turreau.

Le 28 février, Turreau écrit au ministre de la Guerre : "... Le dernier sacrifice que j'ai pu faire est la division Duquesnoy ; elle a ordre de se rendre à Rennes par une marche forcée, elle est en route ... Il est de mon devoir de te prévenir de la conduite coupable que le général Duquesnoy a tenue à cette armée. Il n'a pas peu contribué à entraver les mesures révolutionnaires que j'avais adoptées ; il les a blâmées hautement, aux yeux de sa division entière ... Il a outrepassé les ordres de rigueur que je lui avais donnés. Malgré la victoire qu'il a remportée au Pont-James, on peut l'accuser d'avoir refusé de prendre les seules dispositions qui pouvaient anéantir l'armée de Charette et le livrer lui-même ... Il n'a cessé de ridiculiser publiquement les ordres que je lui ai donnés, de chercher à avilir l'autorité que tu m'as confiée ... En envoyant Duquesnoy à l'armée des côtes de Brest, j'ai délivré celle de l'Ouest d'un général, dont les faux principes, l'ambition et l'intrigue étaient si dangereux dans la Vendée."

Duquesnoy n'était pas moins heureux de quitter Turreau que celui-ci d'être débarrassé de lui. Il reprit sa course vers Rennes sans donner le moindre avis aux autres chefs des colonnes qui poursuivaient Charette. Tant il était dégoûté du rôle qu'on avait fait jouer aux vainqueurs de Wattignies contre des Français, et pressé de cesser d'avoir pour supérieur un homme qui lui inspirait un profond mépris. Il échappa à la vengeance de Turreau grâce à la protection de Carnot, et surtout en raison de sa passivité régulièrement militaire à tous les ordres, dont il avait gardé copie. Néanmoins il fut plus tard compris parmi les généraux poursuivis comme ayant outrepassé les desseins de la Convention nationale et déshonoré la République en Vendée. Il fut amnistié.

De Rennes, il écrit le 8 prairial an II (27 mai 1794) aux Représentants composant le Comité de Salut public qu'une maladie lente et cruelle retient son courage républicain ; "la faiblesse d'un corps débile et presque mourant me réduit à ne pouvoir faire que des voeux pour les progrès de la liberté et l'affermissement du Gouvernement ..." Il ajoute : "depuis six mois avec une santé très chancelante, mon amour de la République m'a fait porter d'expédition en expédition, et j'ai eu le bonheur de voir dans toutes les affaires où j'ai été, triompher les armes des Républicains, tantôt contre les Prussiens, les Autrichiens, les Anglois et enfin contre les rebelles de la Vendée. Il y a quinze jours, j'étois sorty de Rennes contre les chouans, malgré une foiblesse totale, j'ai été forcé de rentrer dans la ville par une fièvre lente qui ne m'a pas quitté depuis ce moment. Veuillez donc, citoyens Représentans, m'accorder un congé de convalescence pour deux mois que j'irois passer dans ma famille, auprès d'Arras ..."

Par arrêté du Comité de salut public du 14 messidor an II (2 juillet 1794), Duquesnoy fut autorisé à quitter l'armée des côtes de Brest et à "aller prendre l'air à Arras, pour rétablir sa santé."

- Suspendu le 25 floréal an III (14 mai 1795).

[A la mort de son frère (juin 1795), qui se tua lors de l'arrestation des Montagnards, et qui mourut pour ses convictions républicaines, il écrivit à la Convention une lettre qui fut jugée "incivique", on l'appela à Paris pour recevoir ses explications. Il les donna avec un tel accent et une telle véhémence, montrant les blessures dont il était couvert, que les membres de la Convention se contentèrent de le mettre en disponibilité.]

Retiré à Hersin "proche Béthune", il écrit, le 16 brumaire an IV (7 novembre 1795), à Carnot, pour lui rappeler ses services dans le Nord, ceux aussi en Vendée, "où il n'avait pas été battu une seule fois", ceux enfin du 13 vendémiaire, où il avait été "des premiers à offrir son épée contre les sections royalistes", et pour réclamer la levée d'une suspension, dont encore "il ignorait les motifs".

- Autorisé à prendre sa retraite, le 14 nivôse an IV. (4 janvier 1796). Le 11 germinal suivant, elle a été décrétée à 800 francs, "mais en considération de sa malheureuse condition, il lui a été accordé un secours de 100 francs" (9 pluviôse an VII - 28 janvier 1799).

 

duquesnoy_0064

Un certificat des officiers de santé en chef de l'hôpital militaire de Béthune en date du 11 fructidor an VI (28 août 1798), constate que le général Duquesnoy est alors dans un état de dépérissement et de marasme qui lui permettait à peine de faire quelques pas ... Le Ministre propose au Directoire de convertir sa pension de 800 francs en traitement de réforme pour lui procurer le moyen d'exister.

Les officiers de santé certifient, le 18 floréal an IX (8 mai 1801), que le général Duquesnoy est atteint d'une hémophtysie avec fièvre et d'une autre affection de poitrine accompagnée de crachats purulents, souvent mêlés de sang, avec une fièvre continue avec redoublements. Il se joint à cette maladie une hernie inguinale, du côté droit (causée par une chute de cheval dans la Vendée), celle-ci était déjà signalée à l'hôpital militaire de Paris, le 15 nivôse an IV (5 janvier 1796). Ces accidents ne sont que les suites de violentes fatigues de la guerre.

Le 24 frimaire an VII (14 décembre 1798), il écrit une lettre à son cousin Lefebvre, difficilement déchiffrable tant sa douleur doit être grande, pour l'instruire de sa grande misère ; "J'ai enfin reçu les cent francs que vous avez eu la bonté de me faire toucher mais j'en ait point beaucoup profité. J'en avoit prêté à mon frère d'Hersin 50 francs et le reste n'a pas suffit pour le médecin. Me voilà à présent à Aix chez ma soeur Huret, toujours bien malade sans un sol pour me faire subsister ..." ; il ajoute qu'il est logé dans "une espèce d'étable séparée de la maison, sans argent et sans soins".

Florent-Joseph DUQUESNOY est décédé, célibataire, à Aix-Noulette, chez sa soeur, Marie-Antoinette, (Aix-en-Gohelle) le 13 messidor an IX (2 juillet 1801) à l'âge de 40 ans.

 

Florent décès 1801 z

 

Son père, Jean-Joseph-Chrisostome, est né vers 1714 et est décédé le 21 avril 1776 à Bouvigny, ferme des Marqueffles. Il fut inhumé le 23 avril 1776 en l'église de Bouvigny. Fils de Jean-Baptiste Duquesnoy (1672 - 1738) et de Marie-Anne Baillet (? - 1746), il avait épousé en premières noces Marie-Jeanne François, née en 1720, à Blavincourt (Beaufort-Blavincourt), le 25 octobre 1740. Le couple n'eut pas d'enfant.

Il s'est ensuite remarié à Courrières, le 1er octobre 1743, avec Antoinette-Françoise Lucas, 18 ans, fille de Robert-François Lucas et d'Antoinette Jacquemon, laboureurs.

Jean-Joseph-Chrisostome est décédé à Bouvigny-Boyeffles, le 21 avril 1776.

Sa mère, Antoinette-Françoise Lucas est décédée à Bouvigny-Boyeffles, le 28 mars 1770.

De ce second mariage sont nés :

- Jean-Baptiste-François-Nicolas-Joseph, né à Bouvigny, le 28 avril 1745 ; fermier-cultivateur ; marié à Hersin-Coupigny, le 26 novembre 1778 avec Marie-Reine-Augustine-Julie Cousin ; décédé à Hersin-Coupigny, le 5 mai 1822, à l'âge de 77 ans ;

- Michel-François-Marie-Joseph, né à Bouvigny, le 6 février 1747 ; décédé à Bouvigny, le 25 avril 1753 ;

- Ernest-Dominique-François-Joseph, né à Bouvigny, le 7 mai 1749 ; il exerça d'abord à Boyeffles la profession de cultivateur, mais ensuite il alla se fixer à Arras et entra dans le commerce ; comme il avait le caractère studieux et qu'il était servi par une intelligence très vive, il prit le grade d'avocat et ne tarda pas par ses études à acquérir une certaine notoriété. Il fut nommé échevin, et il se trouvait en possession de cette charge lorsque la convocation des États généraux fut décidée. Ernest Duquesnoy fit partie des délégués chargés de préparer les cahiers de doléance ; condamné à mort, il se suicide, à Paris, le 17 juin 1795, à l'âge de 46 ans ("Rue Neuve-des-Capucines, n° 174, à la commission militaire, où étant arrivés dans une pièce à droite, rez-de-chaussée, donnant sur la cour, nous y avons trouvé trois cadavres du genre masculin étendus sur le carreau, ensanglantés, sans mouvement ni reste de vie, qui sont : Gilbert Romme, représentant du peuple, Jean-Marie-Claude-Alexandre Goujeon, représentant du peuple du département de Seine-et-Oise et Ernest-Dominique-François-Joseph Duquesnoy ... qui se sont tués eux-mêmes ..., morts par suite d'une blessure au téton gauche faite avec un couteau ou poignard ...") ; il avait épousé le 28 juillet 1778, Marie-Anne Logez, fermière de Aix-Noulette ; de ce mariage naquirent quatre enfants, dont un, Joseph, qui sera moine jusqu'en 1840 ; 

- Robertine-Marie-Anne-Thérèse, née à Bouvigny, le 6 juin 1751 ;

- Marie-Antoinette-Florentine-Josèphe, née à Bouvigny, en mai 1753 ; mariée à Bouvigny, le 9 août 1774, avec Philippe-Anselme Huret (1727-1797), dont deux enfants ; décédée le 20 octobre 1828 à Aix-Noulette (grande route d'Arras à Béthune), âgée de 75 ans et 5 mois, rentière ;

- Joseph-Alphonse-Marie, né à Bouvigny, le 1er août 1756 ; marié avec Catherine-Josèphe Bulteau ;

- Thérèse-Aldegonde-Françoise, née à Bouvigny, le 11 août 1758 ; couturière ; mariée à Pelves, le 8 juillet 1783 avec Augustin-François-Guislain "François" Gonse (1751 - 1808) ; décédée à Biache-Saint-Vaast, le 13 octobre 1840, à l'âge de 82 ans

- Florent-Joseph ;

- Philippe-Joseph-Armand-Fidèle, né à Bouvigny, le 7 janvier 1763 ; fermier à Marqueffles (Bouvigny-Boyelles) ; ordonné par Mgr Porion en 1792, vicaire de La Gorgue, adjoint aux adjudants généraux, aux armées ; a été répartiteur à Aix, puis juré du tribunal de Béthune ; célibataire ; décédé le 27 mai 1809 à Aix-Noulette (grande route d'Arras à Béthune), à l'âge de 46 ans ;

- Éléonore-Robertine, née à Bouvigny, le 22 décembre 1764 ; mariée à Biache-Saint-Vaast, le 22 novembre 1796, avec Jean-Baptiste Huret (1773 - 1806) ; décédée à Heninel, le 26 janvier 1820, à l'âge de 55 ans ;

- Maximilien-Louis-Joseph, né à Bouvigny, le 25 janvier 1768 ; fermier-cultivateur ; marié à Aix-Noulette, le 10 mai 1806, avec Clémentine-Josèphe Carin, blanchisseuse, fille d'Antoine-François-Joseph et de Marie-Angélique Devienne ; décédé à Aix-Noulette, le 31 juillet 1836, à l'âge de 68 ans.

 

signature Duquesnoy général

 

Les derniers montagnards par Jules Claretie - 1868

Le clergé du diocèse d'Arras, Boulogne & Saint-Omer pendant la Révolution par l'abbé A. Deramecourt - 1886

 AN - Vincennes - Dossier militaire du général Duquesnoy - 7 Yd 90

La campagne de 1793 à l'armée du Nord et des Ardennes - tome II - D'Hondtschoote à Wattignies par V. Dupuis - 1909

La Vendée patriote 1793 - 1795 par Ch.-L. Chassin - tome IV - 1895

AD62 - Registres paroissiaux et d'état-civil de Bouvigny et d'Aix

Publicité
Commentaires
M
Un gros travail de recherches sur lequel je vous félicite encore et vous encourage à continuer. <br /> <br /> Je note que vous citez en fin d'article Jules Claretie. Il se trouve que sur mon blog de poésie ainsi qu'à mon bureau au travail, j'ai affiché une citation de Jules Claretie (1840-1913) : Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceu qui voudraient faire la même chose, ceu qui font précisément le contraire et la grande armée de gens d'autant plus sévères qu'ils ne font rien du tout.
Répondre
La Maraîchine Normande
  • EN MÉMOIRE DU ROI LOUIS XVI, DE LA REINE MARIE-ANTOINETTE ET DE LA FAMILLE ROYALE ; EN MÉMOIRE DES BRIGANDS ET DES CHOUANS ; EN MÉMOIRE DES HOMMES, FEMMES, VIEILLARDS, ENFANTS ASSASSINÉS, NOYÉS, GUILLOTINÉS, DÉPORTÉS ET MASSACRÉS ... PAR LA RIPOUBLIFRIC
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Derniers commentaires
Publicité