La famille BITTARD est originaire du pays de Combrailles, en Basse-Auvergne, où dès la fin du XVème siècle elle possédait le domaine de Trapas, dans la paroisse de Rougnat. Elle vint plus tard se fixer dans La Marche. Elle était représentée au XVIIIème siècle par deux branches : l'une est connue sous le nom de BITTARD DU CLUZEAU et l'autre sous le nom de BITTARD DES PORTES.

Son chef, Jean-Baptiste Bittard, sieur des Portes et des Arméniens, conseiller du Roi, marié le 22 octobre 1753 à Gilberte Pasquanet de Lavaud de Pierrebrune, décédé en 1798, acquit en 1786 la terre seigneuriale de Peyrudette. Il fut pourvu cette même année, en remplacement de Gin, de l'office anoblissant de secrétaire du Roi au Grand Collège.

peyrudette château z

Un de ses fils, Gilbert Bittard des Portes, écuyer, sous-lieutenant aux gendarmes rouges, marié en 1779 à Marie-Antoinette de Vincent, fille du baron de Vincent, premier gentilhomme du duc d'Orléans, et de Mlle de La Fayette, fut le grand-père de Jean-Baptiste Bittard des Portes, général de division, commandeur de la Légion d'honneur, et le bisaïeul de René Bittard des Portes, publiciste distingué.

Gilbert fut maire de Champagnat (23) de 1812 à 1835 ; c'est là qu'il mourut le 12 novembre 1845.

Il eut pour fils unique, Jean-Baptiste-Eugène, qui servit aux gardes du corps, se retira du service en 1830 comme lieutenant de cavalerie et chevalier de Saint-Louis, mort à 95 ans, le 2 mars 1875 à Champagnat. Trois fils étaient nés de son mariage avec Mlle Bonfils-Cotton, de Coudes. Ils devinrent tous trois officiers : - Félix, lieutenant des tirailleurs indigènes de Constantine, mourut glorieusement en Afrique, tué à l'ennemi, comme officier d'ordonnance du général Bedeau, le 18 mai 1847, - Paul, cafetier, et le général de division, Jean-Baptiste Bittard des Portes.

Félix et Paul furent, tous deux, de grands propriétaires viticulteurs en Algérie (Port-Gueydon / Alger). Paul avait épousé Eugénie Morel dont il eut des jumeaux : Félix-Louis-Albert et Paul-Alfred-Gaston, nés à Alger, rue Cléopâtre, n° 3, le 17 décembre 1879 ; [- Félix est décédé le 12 mars 1880 ; - Paul est décédé le 14 février 1880] ; et une fille, Henriette-Marie-Gabrielle, née aussi à Alger, le 28 octobre 1778.

Eugène fut, comme son père avant lui, maire de Champagnat de 1855 à 1870.

La famille Bittard a encore fourni de nombreux officiers, des magistrats, des agronomes, etc.

Armes : d'azur à trois billettes d'or, mises en fasce, accompagnées en chef d'un croissant d'argent, tourné vers la dexire, et en pointe d'un autre croissant d'argent, tourné vers la sénestre.

armes

JEAN-BAPTISTE BITTARD DES PORTES

Général de division - grand-officier de la Légion d'honneur, d'une famille d'origine militaire, fils et petit-fils d'officiers, naquit à Coudes-Montpeyroux (Puy-de-Dôme), le 17 juillet 1815.

Admis à dix-sept ans à l'École de Saint-Cyr, le 21 novembre 1832, il en sortit au mois d'octobre 1834, mais cette promotion toute entière, ne reçut le brevet de sous-lieutenant que le 20 avril 1835.

Désigné pour le 17e léger, régiment qui était alors en observation sur la frontière d'Espagne, M. des Portes fut détaché au gymnase militaire, dirigé à Paris par le colonel Amauros. Il demanda bientôt à rejoindre son régiment qui venait de partir pour l'Algérie.

Le jeune officier, qui n'avait que vingt et un ans, devait rester onze ans en Afrique, presque sans interruption, et prendre part à la plupart des combats qui allaient se livrer dans la province de Constantine et assurer la conquête de cette région belliqueuse. Il fut des deux expéditions de Constantine (1836 et 1837), toutes deux si pénibles et si meurtrières. Après la prise de la ville, le général en chef lui donna le commandement d'une compagnie turque. Au licenciement de ces troupes, qui firent cependant bonne figure devant les Kabyles, M. des Portes rentra au 17e léger, alors commandé par le duc d'Aumale, et prit part à une nouvelle série d'expéditions, notamment à celle des Portes de fer.

Nommé lieutenant aux tirailleurs indigènes de Constantine, il fut cité, le 2 janvier 1841, à l'ordre du jour de la division, pour sa belle conduite dans l'expédition contre les Beni-Salah. D'autres faits de guerre le firent nommer chevalier de la Légion d'honneur, le 20 août 1845 et capitaine le 19 mai 1846.

Il n'a quitté l'Algérie qu'après la mort d'un de ses frères tué à l'expédition de la grande Kabylie, comme lieutenant officier d'ordonnance du général Bedeau.

M. Bittard des Portes revint en France au 14e léger en 1847. Il combattit aux journées de juin 1848, et fut nommé au commandement d'une compagnie de voltigeurs. Quelques années après, envoyé en garnison à Dijon, il y épousa Mlle Talandier, fille d'un colonel de cavalerie, qui avait terminé une brillante carrière comme commandant de la place de Strasbourg.

Le capitaine des Portes alla rejoindre en 1852, avec son régiment, à Rome, le corps d'occupation du général Allouveau de Montréal. Le 26 décembre 1853, il passa chef de bataillon au 14e de ligne à Langres. En novembre 1854, la guerre en Orient prenant des proportions considérables, on organisa en France trois nouvelles divisions d'infanterie qui ne tardèrent pas à être embarquées pour la Crimée. Le bataillon du commandant des Portes faisait partie des nouvelles formations. A peine débarqué à Kamieje, il allait prendre part aux attaques de gauche devant Sébastopol.

Après la prise de Sébastopol, le général Pélissier nommait le commandant Bittard des Portes au grade de lieutenant-colonel, nomination bientôt confirmée par le maréchal Vaillant, ministre de la guerre. Le nouveau lieutenant-colonel était affecté au 85e de ligne, dont il prit le commandement à la fin des opérations.

Il reçut, en débarquant, en France, le brevet d'officier de la Légion d'honneur. Il passait bientôt au 4e régiment des voltigeurs de la garde (division Camou), avec lequel il fit en 1859, la guerre d'Italie. Les voltigeurs de la garde se couvrirent de gloire à Solférino, en enlevant la tour, clef de la position et qui donna son nom à la bataille. Le 25 juin, lendemain de cette belle journée, M. Bittard des Portes fut nommé colonel du 65e de ligne, avec lequel il tint garnison à Nîmes et à Lyon. Son régiment vint à Paris en 1862 ; il reçut au camp de Châlons la croix de commandeur le 16 avril de la même année et partit pour Cherbourg en 1865.

Promu général de brigade le 14 décembre 1868, il prit le commandement de la subdivision du Gard, à Nîmes. Il quitta ce commandement en 1870, lors de la déclaration de la guerre à la Prusse, pour prendre celui d'une brigade du 7e corps d'armée.

Le 30 août, l'armée de Châlons marchait dans la direction de la Meuse. A l'entrée des défilés de Stonno, le général des Portes, qui commandait l'extrême arrière-garde du 7e corps, tint longtemps tête à l'ennemi malgré l'infériorité du nombre. Deux jours après, sur le champ de bataille de Sedan, il tombait grièvement blessé de deux coups de feu, à la poitrine et à la jambe droite, en défendant, à la fin de la journée, le calvaire d'Illy, que les Allemands voulaient occuper à tout prix.

Après une longue convalescence, le général put prendre, en mai 1871, le commandement de la subdivision militaire de la Creuse ; et, en 1873, complètement remis de ses blessures, il fut appelé à celui de la 45e brigade d'infanterie et des subdivisions de la Haute-Vienne et de la Corrèze, à Limoges.

Il exerça ensuite, à titre provisoire, le commandement de la 23e division, puis fut nommé au grade de général de division par décret du 30 septembre 1875 et quelques mois après, il allait commander à Périgueux la 24e division. C'est dans l'exercice de ce commandement, et après avoir même commandé par intérim le 12e corps d'armée, que cet officier général reçut la plaque de grand officier de la Légion d'honneur (décret du 3 février 1880)

général signature

Admis au cadre de réserve, par limite d'âge, en juillet 1880, le général de division Bittard des Portes se retira dans sa terre de famille, dans le département de la Creuse.

Son épouse, Jeanne-Marie-Léontine de Talandier était née à La Rochelle, le 21 janvier 1830 ; elle était fille de Jean-Hilaire-Alexis de Talandier, colonel lieutenant de Roi, chevalier de l'ordre royal de Saint-Louis et chevalier, [officier et commandeur] de l'ordre militaire de la Légion d'honneur (1783 - 1850), et de Jeanne-Marie-Antoinette-Augustine Huguet de Forion.

Jean-Baptiste Bittard des Portes est décédé à Moulins (03), le 13 février 1899, en son domicile, rue Regnaudin, à l'âge de 83 ans.

général décès z


CLAUDE-RENÉ BITTARD DES PORTES

Fils du général de division Jean-Baptiste Bittard des Portes, et de Jeanne-Marie-Léontine Talandier, Claude-René est né le 6 septembre 1854 à Langres, rue du Repos, n° 11. (Haute-Marne).

Le registre matricule de 1874 (Limoges - 1 R 337, vue 194) des Archives de la Haute-Vienne nous donne son signalement et ses états de services :  

- 1 m 73 ; cheveux et sourcils châtain foncé ; yeux, bleu clair ; front ordinaire ; nez acquilin ; bouche moyenne ; menton rond ; visage oval.

Dans l'armée active :

- Engagé conditionnel d'un an à Limoges, le 20 octobre 1874 pour le 16e régiment de chasseurs ; il a obtenu du général de brigade commandant la subdivision de Limoges, le 31 octobre 1874, une autorisation de départ d'un an pour continuer ses études (valable jusqu'au 5 novembre 1875.

- Parti de Limoges, le 5 novembre 1875, arrivé le dit jour au 17e régiment de chasseurs, immatriculé sous le n° 1150 ;

- Brigadier le 18 mai 1876 ; a reçu un certificat de bonne conduite ; passé dans la disponibilité le 5 novembre 1876 ; passé dans la réserve le 20 novembre 1879 ;

- A obtenu aux examens de fin d'année la mention très-bien.

Dans la réserve de l'armée active (1879):

- Passé au recrutement de la Seine, le 10 mars 1880 par changement de domicile, division de M. le général gouverneur de Paris ; nommé officier de réserve au Régiment d'artillerie, par décret du 19 mars 1880 ; passé par décision ministérielle du 25 novembre 1883 au 3e Régiment territorial d'artillerie à la suite ; affecté au service d'état-major du 12e corps d'armée par décision ministérielle du 9 avril 1884.

- Nommé lieutenant ... (service d'état-major) ... puis nommé lieutenant en premier au même service par décret du 4 février 1891 ; nommé capitaine et conserve son affectation (décret du 6 avril 1893).

Capitaine d'état-major de l'armée territoriale, il préféra se tourner vers une carrière administrative.

Docteur en droit, avocat à la cour d'appel de Paris, il prête serment le 18 juin 1877. Il fut aussi chef de cabinet du secrétaire général au ministère de la Justice, écrivit quelques ouvrages sur des sujets juridiques spécialisés, avant de se passionner pour l'histoire militaire.

BITTARD DES PORTES démission

 

Il démissionne le 30 décembre 1891 et justifie ainsi sa décision : "Mon inscription date de 1877, mais depuis plusieurs années, ma collaboration au Mémorial Diplomatique et à d’autres publications m’ont absolument éloigné du Palais".

Il fut lauréat de l'Académie française, membre de la Société de Législation comparée, membre titulaire et ancien président de la Société des Études Historiques, commandeur de l'ordre pontifical de Saint-Grégoire le Grand (1889), chevalier de l'ordre de Pie IX, et dignitaire de plusieurs autres ordres.

Il épousa à Limoges, le 28 décembre 1878, avec Louise-Augustine-Marie Maugenest de Jupille, née à Limoges, le 14 août 1857, fille de Paul-Hippolyte Maugenest, propriétaire, et de Marie-Louise-Sidonie Butaud. De son mariage, il eut trois enfants : deux garçons morts en bas-âge et Marie-Paule-Léontine-Raymonde, née à Saint-Germain-en-Laye (78), le 28 novembre 1882. 

signatures mariage

 

Historien militaire et couronné par l'Académie française, il a laissé de nombreux ouvrages dont entre autres :

- Histoire de Condé pendant la Révolution française (1791 - 1801) : d'après les archives de l'État, les mémoires d'émigration et des documents inédits / Paris : E. Dentu, 1896

- L'insurrection de Lyon en 1793 : le siège, l'expédition du Forez : d'après des documents inédits ; avec un plan de Lyon pendant le siège / Paris : Émile-Paul, 1906

- La négociation à l'étranger de titres français perdus ou volés tombe-t-elle sous l'application de la loi du 15 juin 1872 ? / Paris : E. Thorin, 1884

- 1793 - 1796. Charette et la guerre de Vendée, d'après les archives de l'État et de la ville de Nantes, des mémoires inédits des chefs vendéens, etc / Paris : Émile Paul, 1902

- L'exil et la guerre. Les émigrés à cocarde noire en Angleterre, dans les provinces belges, en Hollande et à Quiberon / Paris : E. Paul, 1908

- Histoire des zouaves pontificaux / Paris : Bloud et Barral, 1894

- Les campagnes de la Restauration (Espagne, Morée, Madagascar, Alger) : d'après les archives historiques des dépôts de la guerre et de la marine, les mémoires et les souvenirs contemporains / Tours : A. Cattier 1899

- Du serment : son origine, son caractère, ses effets civils en droit civil et en droit français : thèse soutenue le 20 décembre 1879, 1879

- 1849, l'expédition française de Rome sous la deuxième république : d'après des documents inédits / Paris : Ancienne Maison Charles Douriol, 1905

- Les préliminaires de l'entrevue d'Erfurt / Paris : E. Leroux 1890

- Frasques militaires d'autrefois / Vannes impr. de Lafolye, 1900

- Aventures de chouannerie (Maine, 1796 - 1798) / La Chapelle-Montligeon (Orne) imp. de N.-D. de Montligeon, 1902

- L'État actuel de l'enseignement en Suède, par MM. René Bittard des Portes et Gabriel Lemonnier / Paris Tolmet, 1884

- L'oeuvre d'un Poitevin / Vannes, impr. de Lafolye frères, 1909

- Un conflit entre Louis XVIII et Ferdinand VII, d'après des sources inédites / Besançon impr. de P. Jacquin, 1897
- Le droit et les sociétés. De l'obligation du versement du quart par les apporteurs possesseurs d'actions libérées de moitié / Paris : E. Thorin 1883

- L'exception de jeu dans les opérations de bourse et la légalité des marchés à terme, étude de législation / Paris : E. Thorin, 1882

- Les Guerres de Vendée et les chouanneries, 1793 - 1815 - 1832, étude de bibliographie historique et critique avec notices sur les différentes insurrections / Vannes, impr. de Lafolye frères, 1905 ...

Claude-René Bittard des Portes est décédé au village de Jupille à St-Pierre-le-Bost, le 30 juillet 1910, à l'âge de 55 ans.

décès Creuse 1910 z

 

MARIE-PAULE-LÉONTINE-RAYMONDE BITTARD DES PORTES


A Paris, le 11 janvier 1905, Mgr Colson, camérier d'honneur de Sa Sainteté le Pape, a béni, à midi, en l'église Saint-Augustin, le mariage de Mlle Raymonde Bittard des Portes, la fille de l'historien militaire bien connu, avec le vicomte Marie-François-Joseph de Vassal-Montviel (Trévoux 1876 - St-Pierre-le-Bost 1960), lieutenant au 29e régiment de dragons, fils du marquis et de la marquise de Vassal-Montviel, née de Lostanges Saint-Alvère ; chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1914 - 1918.

Ce mariage unit deux anciennes familles. La maison de Vassal compte des cardinaux, des lieutenants-généraux d'armée, des gouverneurs de province. Il y eut sous Louis XIV un régiment de Montviel.

Les maisons de Vassal et de Lostanges, originaires l'une et l'autre du Quercy, comptent des cardinaux, des lieutenants généraux d'armée, des gouverneurs de province.

Par sa mère, le vicomte Joseph de Vassal-Montviel descend, sans interruption, du roi Saint-Louis. Il compte de ce chef, parmi ses ancêtres, le célèbre cardinal de La Luzerne, arrière grand'oncle de sa mère et de M. de Malesherbes, l'héroïque défenseur de Louis XVI.

Le général de division des Portes, le grand-père de la mariée, a laissé dans l'armée un nom hautement honoré.

Les témoins étaient, pour la mariée : le général comte de Saint-Georges et le capitaine Bittard du Cluzeau, ses cousins ; pour le marié : le comte Raoul de Vassal-Montviel, son oncle, et le colonel comte de Wignacourt, commandant le 29e dragons.

Mlle des Portes, qui a été conduite à l'autel par son père, portait une toilette de mousseline de soie blanche, grand voile de tulle bordé d'Alençon.

La quête a été faite par Mlle de Saint-Quentin, accompagnée par le lieutenant de Miribel, et par Mlle de Caumont, accompagnée par le vicomte de Vassal-Montviel.

Reconnu dans l'assistance : général de Divonne, général de Bérenger, général Bernard, Colonel Faurie, marquis d'Elbée, lieutenant-colonel de La Suchette, duc de Rarécourt, marquis de Pimodan, vicomte et vicomtesse de Tocqueville, comte et comtesse de Krécesnac, comte et comtesse de Breuilpont et commandant et Mme Bauvieux.

Après la cérémonie religieuse, un déjeuner a été donné par M. et Mme Bittard des Portes, en leur appartement de la rue de Naples.

Le marquis et la marquise de Vassal-Montviel sont venus s'installer en Béarn, où ils ont acquis, près de Pau, le château de Bèterette dont ils ont fait une demeure superbe ...

bèterette z

De cette union sont nés :

- Marie-Françoise-Henriette, née à Saumur le 18 novembre 1907 ; mariée le 16 avril 1928 avec Maurice Testu de Balincourt (1896 - 1974), comte, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1914 - 1918, croix de guerre des Théâtres d'Opération Extérieure ; décédée le 20 mai 2007 ;

- Jean, né à Provins (77), le 23 novembre 1908 ; marié avec Thérèse Willemin (Longwy 1912 - Paris 2007) ; décédé à Biarritz (64), le 20 décembre 1990 ;

- René, né à Paris, le 4 septembre 1914 ; marié à Juvigny-le-Tertre, le 21 septembre 1943 avec Rose Le Vicomte de Blangy ; décédé à Désertines (03), le 28 février 1995.

Marie-Paule-Léontine-Raymonde Bittard des Portes est décédée à Lourdes (65), le 17 février 1971.

Marie-Paule-Léontine-Raymonde 1882 z

 

Remerciements à Mme Wojciechowski, archiviste de l'Ordre des avocats de Paris.

Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle - par Chaix d'Est-Ange - 1912 - vue 465

Panthéon de la Légion d'honneur - par M. T. Lamathière - 11 - 1875-1911

The New York Herald du 12 janvier 1905.

https://man8rove.com

Annuaire de l'Armée française pour 1891

Grand dictionnaire historique, généalogique & biographique de la Haute-Marche - Ambroise Tardieu - 1894.