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La Maraîchine Normande
2 novembre 2018

MAULÉVRIER (49) OROUX (79) - LES COSSIN DE MAURIVET - LOUIS-JOSEPH,AIDE DE CAMP DU GÉNÉRAL D'AUTICHAMP (1754 - 1824)

 

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La famille Cossin, originaire de Parthenay, en Poitou, occupait dès le XVe siècle un rang distingué dans la bourgeoisie de cette ville.

Les armes : d'or, à trois têtes de Milan en devise, arrachées de gueules, 2 & 1.

Devise : Spes mea Deus.

 

Élie, auteur de la seconde branche, laissa, entre autres enfants, trois fils :

Henri-Élie Cossin, seigneur de Maurivet, sénéchal de Maulévrier, puis conseiller au présidial de Poitiers, qui fut pourvu en 1779 de la charge anoblissante de président trésorier de France au bureau des finances de Poitiers, puis, le 17 juin 1789, de celle, également anoblissante, de secrétaire du Roi en la chancellerie près le Parlement de Provence, qui prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Poitiers et qui continua la lignée ;

Jean-René Cossin de Belle Touche, chanoine de la cathédrale de la Rochelle, qui fut une victime des noyades de Nantes ;

Charles-Lezin Cossin, sieur de Belletouche, qui fut pourvu en 1779 de la charge anoblissante de conseiller maître en la Chambre des comptes de Nantes. Il avait épousé le 18 octobre 1762, en l'église de St-Jean de Maulévrier, demoiselle Jeanne-Angélique Rocquet de Montours, fille de feu Martial, Sr de la Maison-Neuve, et de demoiselle Louise Rocheton, soeur d'Andrée-Aimée Rocquet, femme de Henri-Elie Cossin, frère de Charles-Lézin. Charles Lezin mourut à Châtillon-sur-Sèvre, le 7 mai 1784, laissant de son mariage sept enfants, deux garçons et cinq filles, dont l'une, CATHERINE, s'est mariée à Poitiers le 13 octobre 1801 à Charles-Gabriel Chaubier de Larnay, dont : Charles-Joseph, Louise et Victor-Marie.

M. Félix Cossin, âgé de 23 ans en 1822, et dont le nom s'est trouvé malheureusement compromis dans le procès des conspirateurs de Thouars et de Saumur, est un des petits-fils de Charles-Lezin.

CATHERINE COSSIN, SES FRÈRES ET SOEURS EN 1793

Charles Lézin mourut à Châtillon-sur-Sèvre, le sept mai 1784. Catherine, née à Châtillon, le 15 novembre 1779, fut élevée avec ses deux frères et ses quatre soeurs par leur courageuse mère, qui prodigua ses soins les plus dévoués à ses enfants, qu'elle eut la douleur de laisser complètement orphelins, rendant son âme à Dieu le 2 septembre 1793.

C'est une sombre et terrible date pour la France, tombée alors en proie à la plus horrible des révolutions. Ce fut une époque désastreuse pour l'héroïque Vendée, qui se mit en arme et qui sacrifia tout à la défense de la Religion de ses pères.

Félix-Adrien, l'aîné des frères de Catherine, à peine la guerre commencée, recevait une blessure mortelle et expirait à vingt ans, à la ferme des Gaudinières, commune de Gourgé, où l'avaient transporté sur un brancard quelques paysans vendéens.

Peu de temps après, Étienne-Emmanuel, l'autre frère, âgé seulement de quatorze ans, incorporé dans un régiment de cavalerie vendéenne, tombait à l'attaque du Pont-Fouchard, à Saumur, atteint de plusieurs coups de sabre, qui l'étendirent mort sur la place.

Tandis que leurs frères quittaient ainsi la vie, les cinq jeunes filles, Marie-Anne, âgée de 25 ans, Louise-Jeanne, de 21 ans, Julie-Henriette, de 19 ans, Thérèse-Louise, de 15 ans, Catherine, de 14 ans à peine, travaillaient nuit et jour à préparer les vivres, les munitions, les remèdes, chaque maison de la Vendée étant devenue une hôtellerie, un arsenal ou une ambulance.

Mais, les armées révolutionnaires promenant partout la torche incendiaire, il fallut fuir, et les pauvres filles, après avoir enfoui ce qu'elles avaient de plus précieux, s'éloignèrent en pleurant de la maison paternelle, maison très-remarquable, qui, le lendemain, était dévorée par les flammes.

Les voilà maintenant réunies à toute la population vendéenne, marchant à la suite des armées royalistes, vivant au milieu des camps, recevant leurs rations comme le soldat, passant la nuit où et comme elles pouvaient.

Quand les troupes vendéennes étaient refoulées par les soldats de la république, les femmes, les enfants, les vieillards ne réussissaient pas tous à se sauver. Il en périssait même un grand nombre.

Dans une de ces rencontres, Louise et Thérèse tombèrent entre les mains des bleus. Thérèse fut choisie pour être la première victime. Elle était à genoux, recommandant son âme à Dieu ; l'arme allait faire feu, quand Louise se précipite sur le soldat et fait dévier le coup. Elle joint ensuite les reproches à l'action. Son courage frappe les farouches ennemis de stupeur, et les deux soeurs sont sauvées.

Un peu plus tard, sous les murs du Mans, Julie est obligée de se défendre contre des soldats qui veulent lui ôter plus que la vie. Mais si grande est alors l'énergie de la jeune fille, que l'un de ces bourreaux, furieux, enroule autour de son sabre les longs cheveux de sa victime, qui se sont dénoués dans la lutte, et la traîne impitoyablement par de rudes sentiers, où il la laisse enfin dans le plus triste état.

Ses soeurs, qui sont accourues, la prennent dans leurs bras et à la faveur des ténèbres la transportent dans une ferme voisine, où, à l'insu du maître, elles la déposent sur de la paille dans une étable ouverte et passent toute la nuit en prières dans ce lieu.

Mais le jour trahit leur retraite. Des soldats républicains, qui rôdaient dans la campagne, les découvrent, s'emparent d'elles et les amènent au Mans, où, arrachées avec peine à la populace des rues, elles sont jetées en prison. Encore n'ont-elles pas la consolation d'y être réunies.

Louise et Thérèse ont été cruellement séparées de leurs soeurs. Catherine et Marie sont renfermées dans l'église de la Couture, convertie en lieu de détention, avec leur soeur Julie mourante, pour qui elles ne peuvent obtenir aucun soulagement, et qui ne tarde pas à expirer sous leurs yeux. Mais son corps même est resté pur, et son âme sans doute a été reçue glorieusement parmi le choeur des Vierges qui suivent l'Agneau sans tache partout où il va.

Cependant les prisons du Mans regorgeant de captifs, et les cadavres s'y trouvant bientôt entassés, la municipalité fit publier que tout citoyen qui voudrait alléger les charges de l'État serait admis à réclamer des prisonnières vendéennes à la condition de les nourrir.

Marie et Catherine tombèrent ainsi entre les mains d'une couturière qui les faisait travailler sans relâche, sous peine d'être privées de leur pain de la journée, si elles se reposaient un instant. Ce n'était point toutefois le plus triste côté de leur position. Elles comprirent vite chez quelle sorte de femme elles se trouvaient. Prenant donc leur parti sans hésiter, elles se dérobèrent résolument, se confiant en la divine Providence. En effet, de bonnes familles s'intéressèrent à elles et les placèrent chez d'honnêtes artisans, où les secours ne leur manquèrent pas.

Elles vécurent ainsi près de deux ans dans l'obscurité, sans nouvelles du pays, sans rien savoir non plus de leurs deux autres soeurs, qu'elles désespéraient de revoir jamais.

Ce ne fut que lors de la pacification de la Vendée, et au moment où elles s'apprêtaient pour rentrer dans leurs foyers, qu'elles apprirent que Louise et Thérèse, arrachées à un malheur imminent par la générosité d'un officier républicain digne de marcher avec ceux qu'il était obligé de combattre, vivaient encore, cachées sous le costume de bergères dans une ferme de la Bretagne.

Elles se furent bientôt mises en rapport ensemble, et elles se donnèrent rendez-vous à Chinon, auprès d'un oncle, Torterue de Langardière, bon vieillard, qui fut touché de leur malheur et qui choisit l'aînée d'entre elles, Louise, pour être, à titre de belle-fille, l'appui de ses derniers jours.

Marie, Thérèse et Catherine retournèrent à Maulévrier, où elles ne trouvèrent plus qu'une ville presque toute réduite en cendres, et quelques pans de murs noircis par le feu, seuls restes de leur maison paternelle. Sans se laisser abattre, elles se construisent de leurs propres mains avec des débris de charpente un petit logement qui leur sert d'abri jusqu'à ce qu'elles aient pu relever la maison de ses ruines.

Telle avait été la vie d'agitation et d'épreuves et aussi de courage et de foi des demoiselles Cossin de Belle-Touche. (Vie de M. Charles-Joseph Chaubier de Larnay par M. Ath.-Aug. Guillet - 1878)

Cette branche s'est éteinte avec Louis-Félix Cossin de Maurivet, né en 1812, petit-fils d'Henri-Élie, qui épousa en 1841 Mlle de Menou et qui n'en eut que deux filles.

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HENRI-ÉLIE COSSIN, Écuyer, Seigneur de Maurivet, Conseiller du Roi en sa Chambre du Domaine & Bureau des Finances de la généralité de La Rochelle, épousa Louise-Andrée-Aimée Rocquet du Perré, fille de Nicolas-Martial Rocquet, & de Louise Rocheton, dont :

Louis-Joseph, né à Maulévrier, le 12 avril 1754 ;

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Marie-Rosalie, née en 1751, mariée le 4 septembre 1775, par contrat passé devant Quetton, notaire à Maulévrier, à Messire François-André du Moutier, Écuyer, Seigneur de la Fon, Garde-du-Corps du Roi, fils de Messire François du Moutier, Écuyer, Conseiller du Roi, &c., & de Jeanne Poirier, dont postérité ; dont 2 fils : l'un devint colonel, habita Saumur, épousa une demoiselle Cossin de Maurivet, sa cousine, et n'eut pas d'enfant ; l'autre, propriétaire, laissa un fils et deux filles.

Récit d'Ami-Félix Bridault : Henri-Élie COSSIN, de Maurivet, fut attaqué à l'âge de 50 ans, d'une tumeur érésypélateuse, qui gagna toute la jambe droite et s'étendit jusqu'à la cuisse ; elle était phlegmoneuse, accompagnée d'enflure considérable, et d'engorgement inflammatoire, de phlictènes et de duretés par bandes, dans le trajet des tendons et des muscles. Le malade essaya inutilement, pendant cinq ans, toutes sortes de remèdes ; plusieurs plaies se formèrent successivement dans différentes parties de la jambe, mais principalement aux chevilles ; ces plaies dégénérèrent en ulcères profonds ; les douleurs très-vives le jour et la nuit, l'empêchaient de dormir ; elles devenaient plus fortes et plus fréquentes, par le moindre mouvement et la plus légère fatigue ...

Une circonstance heureuse me procura l'occasion de connaître M. Cossin de Maurivet, par le moyen de son frère, chanoine, à La Rochelle, dont j'étois l'ami et le médecin. J'entretins avec lui, d'après le détail de sa situation, qu'il m'envoya par écrit une correspondance très-exacte ; je jugeai dès-lors, d'après les renseignements pris sur le caractère de sa maladie, que c'était un engorgement lymphatique, érésypélateux et dartreux ... Je lui conseillai la décoction, le suc et le cataplasme de Carotte à l'extérieur, et la tisane de Carotte pour boisson habituelle ; dans moins d'un mois de ce traitement, les couleurs diminuèrent et dissipèrent peu à peu entièrement ; les ulcères se détergèrent, la jambe et la cuisse désenflèrent, la jambe s'étendit par degré ; M. Cossin put poser le pied par terre, s'appuyer, marcher, se promener et vacquer à ses affaires. En septembre 1779, il fut en état de venir à la Rochelle ; j'eux le plaisir de l'y voir, de m'entretenir souvent avec lui du principe de sa maladie, de ses progrès et du succès de la Carotte, dont je lui avais prescrit l'usage. Sa jambe, quoique très-légèrement enflée, le soir surtout, était libre dans tous ses mouvements ; il marchait aisément, promenait volontiers, mangeait bien, dormait de même, et faisait bien toutes ses fonctions ; tous les ulcères étaient parfaitement et solidement cicatrisés.

Le certificat qu'il a bien voulu mettre au bas du détail de son observation, et qu'il a voulu signer, pour en confirmer la vérité, est une preuve bien certaine de sa guérison.

Certificat de M. Cossin de Maurivet.
Je certifie l'exposé de mon observation et de ma guérison sincère et véritable. A la Rochelle ce 17 septembre 1779.
Signé, COSSIN DE MAURIVET.

Fleur-De-Lis on Apple

Louis-Joseph COSSIN, membre de la Compagnie des Mousquetaires noirs, émigra en 1792, et servit dans la 2e compagnie à cheval des gentilshommes du Poitou.

Il épousa, le 30 janvier 1805, avec Louise-Charlotte Louveau de Ligny, née en 1769 ; décédée le 2 septembre 1843 à Oroux, château de Maurivet, à l'âge de 74 ans. 

De cette union sont nés :

- Marie-Louise, née à Oroux, le 29 juin 1807 ; décédée à Angers en 1816 ;

- Louis-Félix : 1812 - 1856 ; marié le 27 novembre 1841 à Pellevoisin (36), château du Mée, avec Euphrasie-Philippine-Claire de Menou (1817 - 1856) ; En 1836, le comte de Maurivet, qui habite Oroux, près de Thènezay (D.-S.), demande la lieutenance (louveterie) de l'arrondissement de Bressuire, mais celle-ci lui est refusée à cause de ses opinions politiques, qui étaient celles du parti légitimiste prononcé. Mais en 1843, une nouvelle fois, le comte de Maurivet brigue le poste vacant, qui lui est accordé le 19 décembre de la même année. La lettre du directeur général de l'administration nous apprend les véritables raisons qui ont motivé cette nomination, il n'y a aucune équivoque : "... Aujourd'hui pourtant en présence des déprédations exercées par les loups dans l'arrondissement de Bressuire et en raison de l'impossibilité de trouver un autre candidat, j'ai l'honneur de nommer M. le Comte de Maurivet lieutenant de louveterie."

Le château de Maurivet, situé à l'orée du Bocage vendéen, fut d'autant moins à l'abri de la tourmente révolutionnaire que Louis-Joseph Cossin était aide de camp du général d'Autichamp. En 1793, le château fut pillé par les Bleus qui emportèrent les meilleurs meubles. Pendant qu'il participait à l'insurrection vendéenne, sa femme, Charlotte Louveau de Ligny de La Règle, était emprisonnée à Nantes, suivie d'une femme de chambre qui, bien qu'enceinte, ne voulut jamais quitter sa maîtresse, et accoucha en prison. Le 9 thermidor les sauva.

En 1815, Louis-Joseph reprit le combat dans l'armée d'Anjou.

ÉTATS DE SERVICES :

Armée des Princes en 1791 et 1792 - Armée du général de Baulieu en 1794 ;
Servit dans l'armée vendéenne en 1814-1815
Décoration demandée : la croix de Saint-Louis.
(SHD XU 16-20 - 28 septembre 1815 - 18 janvier 1816 - vue 5).

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Cossin de Maurivet Louis-Joseph, âgé de 66 ans ... la croix de Saint-Louis et la retraite de son grade de colonel.
(SHD XU 16-24, sans date - vue 1).

Il fut juge de paix (sans pouvoir dire à partir de quelle date) on lit dans la Gazette Nationale en date du 4 octobre 1822 qu'il devra quitter ses fonctions  : "Le sieur Cossin de Maurivet, juge de paix, sera remplacé par M. Sénéchault, ancien greffier."

BERTON - juge de paix

 

LOUIS-JOSEPH COSSIN DE MAURIVET est décédé à Oroux (79), en son domicile, au château de Maurivet, le 30 juin 1824.

Sur sa tombe, on peut lire :

Ci-gît le corps de MR Louis Joseph Coussin de Maurivet - Membre de la légion d'honneur - juge de paix du canton de Thénezay - Bon époux - Ami des pauvres - né le 13 avril 1754 - décédé le 3 juin 1824.

Priez Dieu pour le repos de son âme.

 

tombe

cossin de maurivet z

 

Dans la Gazette des Tribunaux, n° 2281, du mercredi 5 décembre 1832, on trouve "un acte d'accusation soumis à la Cour d'assises d'Eure-et-Loir, dirigés contre un grand nombre d'accusés, dont Louise-Charlotte Louveau de Ligny, veuve Cossin de Maurivet, âgée de 60 ans, propriétaire à Maurivet. Elle est accusée d'avoir, le 22 mai dernier, fourni sans contrainte un lieu de réunion à une bande armée pour changer ou détruire le gouvernement alors qu'elle connaissait le but et le caractère de cette bande ; fait prévu et puni par l'art. 99 du Code pénal. (Travaux forcés à temps). L'affaire fut jugée le 18 décembre." Malheureusement on ne trouve pas d'informations sur la suite qui fut donnée à cette affaire.

Son épouse, Louise-Charlotte Louveau de Ligny est décédée au château de Maurivet, le 2 septembre 1843.

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Maurivet z

 

LE CHÂTEAU DE MAURIVET

Le corps principal de Maurivet a probablement été construit en deux temps entre 1490 et 1530 par les Garnier. La seigneurie de Maurivet fut saisie et vendu le 20 septembre 1702 à Pierre Cossin. Par la suite, Henri-Elie Cossin transforme le parc dans le goût de Le Nôtre et fait reconstruire la chapelle Notre-Dame de Pitié à l’emplacement d’un ancien oratoire détruit lors des guerres de religion. Au début du XIXe siècle, Louis-Joseph Cossin fait ajouter deux ailes basses pour accueillir les communs.

Selon la légende, à la fin du XVIIe siècle, un neveu du seigneur fit un pacte avec le diable pour séduire une noble dame du voisinage. Pour y parvenir, il devait présenter au diable un vêtement sans couture et une chandelle sans bout. Dans l'impossibilité de relever le défi, il fut enlevé par le diable. (Brochure pdf "Promenez-vous dans le Pays de Parthenay" - Circuits pédestres)

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Dictionnaire de la Noblesse - par de la Chenaye-Desbois et Badier - troisième édition - tome sixième

Dictionnaire des Familles Françaises par C. d'E.-A. - tome douzième - 1913

Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou - Beauchet-Filleau - première édition - mars 1895

AD49 - Registres paroissiaux de Maulévrier

AD79 - Registres d'état-civil d'Oroux

V.M.F. - Châteaux, manoirs et logis - 1991

Traité sur la carotte et recueil d'observations sur l'usage et les effets salutaires de cette Plante, dans les maladies externes et internes, par Ami-Félix Bridault, ci-devant Médecin des Hôpitaux Civils et Militaires, ancien Membre de plusieurs Académies, et Président du Conseil de Santé, établi à La Rochelle - 1800.

Annales de la Société des sciences naturelles de la Charente-Maritime - mars 1972.

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