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La Maraîchine Normande
2 avril 2016

STRASBOURG (67) - FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL, ÉVÊQUE CONSTITUTIONNEL

FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL


François-Antoine Brendel, évêque du Bas-Rhin, était né en 1736, à Mertzhoffen, en Franconie. Il obtint successivement la chaire de droit canon à l'université de Strasbourg, des lettres de naturalisation, et à l'avènement de Louis XVI la nomination au premier canonicat vacant dans la collégiale de Haguenau ; mais cette nomination n'eut pas d'effet, parce qu'il ne vaqua point de canonicat jusqu'à la révolution.

Strasbourg 5

Brendel demeurait au séminaire, et il exerçait le ministère de la confession ; mais ayant étudié à l'université protestante de Strasbourg pour pouvoir soutenir sa licence, parce que l'université catholique n'avait pas encore de faculté de droit canon, il avait pris les idées nouvelles, voulait une réforme, et voyait beaucoup d'abus dans l'Église.

La révolution le trouva donc dans des dispositions favorables aux innovations. Il accepta l'évêché du Bas-Rhin, malgré les représentations et les prières des directeurs du séminaire, et fut sacré à Paris le 13 mars 1791.

Il avait compté gagner des séminaristes et ses disciples, mais il ne put en séduire aucun, pas même son propre neveu. Il fut donc obligé de les renvoyer, et on les remplaça, comme on put, par de jeunes Allemands. Il en fut de même du clergé, où il ne trouva pas 30 prêtres qui voulussent prêter le serment, et encore c'étaient presque tous des gens déjà mal notés. Il appela pour occuper les cures des prêtres allemands que l'appât de la liberté attirait en France. Mais malgré ses efforts, un grand nombre de cures restèrent vacantes, et les prêtres y exercèrent le ministère jusqu'au moment de la déportation générale.

L'administration passagère de Brendel fut empoisonnée de tant de mortifications, qu'il fallut toute l'obstination d'un schismatique pour persévérer dans ce parti ; les protestants et les ennemis de la religion étaient ses seuls appuis.

Méprisé de ses anciens confrères, abandonné de ses anciens disciples et de ses anciens pénitents, entouré de ce qu'il y avait de moins estimable dans le clergé, hué souvent par la populace, il fit la cathédrale transformée en temple de la raison, et plusieurs de ses prêtres abjurer.

Cependant il ne suivit point cet exemple, et dut à la protection des protestants de ne pas être enfermé. Le féroce Schneider était un de ses grands-vicaires.

Après la terreur, Brendel ne reprit point ses fonctions ; il adhéra pourtant à l'encyclique du 13 décembre 1795 ; mais dégoûté par tout ce qu'il avait éprouvé, il donna sa démission entre les mains de ses collègues, sans toutefois renoncer au schisme.

Il obtint la place d'archiviste du département, et il en jouit jusqu'à sa mort arrivée le 22 mai 1799.

Pendant sa maladie, qui fut longue et douloureuse, des prêtres cachés à Strasbourg lui offrirent leur ministère, qu'il refusa ; il reçut les sacrements d'un assermenté.

Extrait : L'ami de la Religion et du Roi - Volume 64 - 1830

Strasbourg 4

PROCÈS-VERBAL Dressé sur la prestation de serment et la prise de possession de Mr FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL, Évêque constitutionnellement élu et consacré du Département du Bas-Rhin


Imprimé en conséquence d'une Délibération du Conseil-général de la Commune de Strasbourg du 25 Mars 1791.

L'AN mil sept cent quatre-vingt onze, vendredi vingt-cinq mars à neuf heures du matin, le Conseil-général de la Commune de Strasbourg s'étant en conséquence d'une délibération du Corps municipal du jour d'hier réuni à l'Hôtel de Ville, il s'est transporté de là en corps précédé et suivi de détachemens d'infanterie et de cavalerie de la Garde nationale et des troupes de ligne au Séminaire catholique, où il a trouvé M. FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL Évêque constitutionnellement élu du Département du Bas-Rhin, en rochet et camail, MM. les Commissaires du Roi près les deux Départemens du Rhin, et MM. les Administrateurs faisant provisoirement les fonctions du Directoire dudit Département du Bas-Rhin, avec lesquels il s'est rendu précédé et suivi de même au choeur de l'Église Cathédrale M. L'Évêque y ayant été revêtu de ses habits pontificaux, il a au devant du Maître-autel en présence du Conseil-général, des personnes susdites, du clergé et des fidèles assemblés en très-grand nombre prêté le serment qui lui est prescrit par l'art. : XXI du titre II de la Loi du 24 août 1790, concernant la constitution civile du Clergé, ensuite il a célébré pontificalement la grand-messe audit Maître-autel : Et le Conseil-général étant à l'issue du service divin revenu à la Maison commune dans la salle ordinaire de ses séances avec M. l'Évêque, M. les Commissaires du Roi, MM. les Administrateurs du Département du Bas-Rhin susdits, et MM. les Administrateurs du Directoire du District de Strasbourg, aux applaudissemens et aux acclamations répétés d'un concours considérable de citoyens ; lecture ayant été faite de deux procès-verbaux dressés par MM. Bevière et Dosfant Notaires royaux à Paris et Députés de cette ville à l'Assemblée Nationale les 12 et 13 de ce mois ; le premier sur l'institution canonique et la confirmation donnée audit sieur Évêque par M. Charles-Maurice Talleyrand-Périgord ancien Évêque d'Autun, ou autrement du Département de Saone et Loire, et Député à l'Assemblée Nationale, et l'autre sur la consécration dudit sieur Évêque faite par M. Jean-Baptiste Gobel, Évêque de Lydda, aussi Député à ladite Assemblée, à ce délégué par ledit sieur Évêque d'Autun, desquels procès-verbaux copies sont jointes aux présentes ; et ledit sieur Évêque du Département du Bas-Rhin ayant demandé qu'il lui soit donné acte de la prestation de sondit serment et de sa prise de possession de l'Évêché du Département du Bas-Rhin, ouï et ce requérant le Procureur de la Commune, le Conseil-général a octroyé audit sieur Évêque l'acte demandé.

De tout quoi a été dressé le présent procès-verbal qui a été signé par M. l'Évêque, MM. les Commissaires du Roi, les Administrateurs du Directoire du Département, ceux du Directoire du District et les membres présens du Conseil-général, à Strasbourg dans ladite grande salle de la Maison commune les jour, mois et an susdits.

Et MM. les Ecclésiastiques présens à la rédaction du procès-verbal ayant demandé qu'il leur soit permis de le signer, le Conseil-général a accueilli cette demande et à invité aussi MM. les Commandans de la Garde nationale et les autres citoyens Notables présens, d'y apposer leurs signatures.

Signé : FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL, Évêque du Département du Bas-Rhin.

Brendel signatures serment

Brendel signatures serment 2ème partie

Strasbourg 3

Monition canonique & ordonnance du cardinal de Rohan, dont voici la teneur :

MONITION CANONIQUE ET ORDONNANCE
LOUIS-RENÉ-ÉDOUARD, PRINCE DE ROHAN, par la grâce de Dieu & l'autorité du Saint-Siège apostolique, cardinal de la sainte église romaine, prince-évêque de Strasbourg, landgrave d'Alsace, prince du saint Empire, proviseur de Sorbonne, &c., &c.

A FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL, prêtre naturalisé du diocèse de Strasbourg, se portans pour évêque dudit diocèse, ainsi qu'au clergé séculier & régulier, & à tous les fidèles.

Il est de notoriété publique, que le siège épiscopal de Strasbourg, auquel nous avons été élu canoniquement, en qualité de coadjuteur, d'abord en l'année 1760, & dont nous avons pris ensuite possession réelle en 1779, n'est vacant ni par mort, ni par démission, ni par aucun jugement de l'église, qui sont les seuls genres de vacances légitimes, reconnus par les lois ecclésiastiques & civiles.

Il est notoire encore, que, nonobstant ce défaut de vacance & les protestations réitérées que nous avons faites, & qu'a exigées de notre part la conservation de nos droits, de ceux de notre siège & de notre grand-chapitre, ainsi que la fidélité que nous devons, en notre qualité de prince-d'état d'Empire, au maintien des traités solennels qui ont réuni l'Alsace à la couronne de France, & qui garantissent lesdits droits ; que, nonobstant encore nos déclarations, instruction pastorale & autres lettres adressées à notre clergé & aux fidèles de notre diocèse, pour leur faire connaoître les vrais & les bons principes, & les sentimens catholiques sur la nouvelle constitution civile touchant la religion, la hiérarchie & la discipline ecclésiastiques, FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL, prêtre naturalisé de notre diocèse, a été dans la séance de dimanche 6 mars dernier, proclamé élu à l'épiscopat du département du Bas-Rhin par le président de l'assemblée soi-disant électorale, à la suite d'une convocation & élection ordonnées par un pouvoir notoirement incompétent, faite par des électeurs sans charge ni mandat à cet effet, & prohibée par les saints conciles, sous peine de nullité ; élection vicieuse & scandaleuse sous tous les rapports, & notamment par le refus de la majeure partie des électeurs catholiques d'y prendre part, & ne devant par conséquent être considére que comme le fait seul d'un nombre de protestans de la confession d'Augsbourg, qui n'ont pu eux-mêmes qu'être abusés dans une démarche aussi inconsidérée.

Que le dit FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL, au mépris de tant de considération & du serment qu'il nous a prêté dans son ordination, au mépris de la connoissance personnelle qu'il a des droits particuliers & inhérens à notre église, puisqu'il les a publiquement enseignés pendant plusieurs années, a accepté le prétendu choix fait de sa personne pour l'occuper, & a reçu la consécration épiscopale, avec la violation de toute les règles, au grand scandale de l'église & de la religion ; qu'il n'a reçu l'imposition des mains que par le ministère d'évêques qui n'ont ni autorité ni mission de l'église pour examiner & juger des caractères & des signes de sa vocation ; d'évêques, qui ont procédé à son ordination sans aucun mandat apostolique, dans un diocèse-étranger, sans permission de l'ordinaire, & qui enfin n'ont pu se prêter à tant d'illégalités sacrilèges, sans se rendre coupables eux-mêmes de prévarication & de parjure, & sans accumuler sur la tête de F.A. BRENDEL, & sur la leur, les censures prononcées contre les violateurs des règles canoniques, peines si redoutables aux yeux de la foi.

D'après l'existence notoire de tous ces traits caractéristiques qui frappent de nullité radicale le titre prétendu de F.A. BRENDEL à notre siège épiscopal, & son ordination de profanation sacrilège, il ne peut être regardé par nous & par tous les catholiques de notre diocèse fidèles à leur croyance, que comme un intrus, & selon la décision du saint concile de Trente, session 23, chap. 4, que "comme un voleur qui n'est point entré par la porte dans le bercail". L'honneur de la religion & de l'église, notre devoir, le salut du troupeau confié à notre vigilance, & l'attestation que nous devons apporter à la conservation de la foi & de la saine doctrine, exigeroient peut-être que dès ce moment nous déclarassions que le susdit F.A. BRENDEL frappé de l'anathème que le même concile prononce dans le canon 7 de ladite session contre les ministres schismatiques & prévaricateurs, & que nous le retranchassions ainsi de la communion des fidèles ; mais, selon l'expression de l'Écriture, ne désirant point la mort du pêcheur, & qu'au contraire il se convertisse & il vive, voulant nous conformer aux préceptes de l'égangile, & ne fasse usage des moyens de sévérité, qu'après avoir employé & épuisé ceux de la charité, afin encore de prévenir, autant qu'il est en nous, tous schisme dans notre église, & dans l'espoir que F.A. BRENDEL, sensible à notre tendresse paternelle, & par un juste retour sur lui-même, reconnoîtra & confessera ses torts, viendra à tésipiscence & réparera le scandale public de son intrusion & de son usurpation, en se désistant de son injuste & sacrilège prétention sur le siège épiscopal de Strasbourg, en nous reconnoissant pour seul & légitime évêque de ce siège, & en renouvelant en nos mains le serment de fidélité & d'obéissance qu'il nous a prêté lors de son ordination. A quoi faire, lui fixons un délai de huitaine à dater du jour où il aura connoissance de nos présentes, lesquelles, vu la grièveté du délit, l'urgence des circonstances, & que notre dernière lettre, adressée à MM. les curés, vicaires, & au clergé, peut & doit être considérée comme un avertissement suffisant de notre part, lui serviront de première, seconde, troisième & dernière monition canonique ; & faute par lui d'y satisfaire dans ledit délai, & icelui écoulé sans nous avoir fait connoître qu'il est venu à résipiscence ; nous, en vertu du pouvoir divin qui nous a été donné, le saint nom de Dieu invoqué & tout considéré :

"Déclarons, dès maintenant, & sans qu'il soit besoin d'une nouvelle déclaration de notre part, FRANÇOIS-ANTOINE BRENDEL avoir encouru, à l'expiration du terme de huit jours à lui accordé, l'anathême prononcé par le canon 7 de la session 23 du saint concile de Trente."

Et attendu que ledit F.A. BRENDEL a été ordonné contre toutes les règles de l'église, nous le déclarons dès lors schismatique, intrus dans notre siège, usurpateur de la juridiction épiscopale qu'il prétendroit exercer en vertu d'une consécration illicite & sacrilège, &, comme tel, soumis aux peines canoniques ; lui interdisons non-seulement l'exercice des fonctions épiscopales, mais encore la célébration des saints mystères.

Déclarons en conséquence que tous les sacremens qu'il administrera seront des profanations & des sacrilèges ; & tous les actes de juridiction, tels que dispenses de mariage, attribution de juridiction aux simples prêtres, & autres actes, seront nuls & de nul effet.

Déclarons également schismatiques tous curés de notre diocèse, tous vicaires ou prêtres, soit étrangers, soit diocésains, qui recevroient dudit F.A. BRENDEL l'institution à l'effet d'exercer aucune fonction pastorale ; les suspendons, ainsi que lui, & de la célébration des saints-mystères, & de toute juridiction spirituelle ; avertissons les fidèles de notre diocèse, que les absolutions qu'ils donneront seront nulles, excepté toutefois à l'article de la mort ; auquel cas la tendresse de l'église pour ses enfans l'a portée à accorder la juridiction à tous prêtres sans distinction.

Déclarons que toutes démissions extorquées des curés titulaires actuels seront nulles ; qu'ils resteront seuls légitimes pasteurs, jusqu'au moment où ils auroient remis entre nos mains leurs démissions, acceptées par nous ; & que ceux qui oseroient s'arroger dans les paroisses le titre & les fonctions de pasteurs, seroient des schismatiques & des intrus. En conséquence faisons très-expresses défenses à tout prêtre & ecclésiastique d'accepter aucune desdites cures, de s'y faire instituer & installer par ledit F.A. BRENDEL, & d'exercer, en vertu de cette institution ou installation, aucune fonction sous peine de suspense ; tout curé, destitué par la seule puissance temporelle ne demeurant pas moins seul légitime pasteur, qualité qui lui impose l'obligation de continuer à sa paroisse tous les soins & secours spirituels, que les circonstances lui permettront de lui donner.
Et pour empêcher que la contagion d'un mal aussi horrible que le schisme, ne se propage & ne corrompte la masse des fidèles de notre diocèse, nous ordonnons à tous les ecclésiastiques séculiers & réguliers, & à tous les fidèles soumis à notre juridiction spirituelle, de se comporté, à l'égard de F.A. BRENDEL, & de tous ceux qui auront la témérité d'adhérer à son intrusion, de la manière que l'église le prescrit à l'égard des schismatiques, avec lesquels nous leur défendons de communiquer, soit directement soit indirectement dans l'exercice des fonctions spirituelles ; & ce, sous les peines de droit statuées en pareil cas, lesquelles seront encourues par le seul fait, après le délai ci-dessus prescrit.

En conséquence faisons très-expresses défenses à tout prêtre ou laïc non-seulement de reconnoître F.A. BRENDEL pour évêque légitime, & les prêtres, curés ou vicaires institués par lui légitimes pasteurs, mais même d'assister à leur messe, & de communiquer avec eux pour la participation des sacremens, la célébration de l'office divin, ou de quelque manière que ce soit.

Remplis d'une sainte indignation, & le coeur navré d'amertume à l'occasion des irrévérences & indécences qui ont été commises dans le lieu saint le jour de dimanche 6 mars, nous interdisons par ces présentes, & déclarons réellement & par le fit interdire, jusqu'à ce qu'il en soit par nous autrement ordonné, notre église cathédrale, & notamment le choeur à l'exception toutefois de la chapelle de Saint-Laurent, & de l'autel destiné au service de la paroisse, & ce, tant qu'elle sera desservie par le sieur curé de Saint-Laurent, titulaire actuel, ou par un autre prêtre légitimement approuvé & autorisé par lui, & que ledit sieur curé n'aura pas rendu son titre vacant, soit par sa mort, soit par une démission légale acceptée par nous.

Comme les temps deviennent, hélas ! de jour en jour plus mauvais, & que nous touchons peut-être au moment où les prêtres fidèles à leur conscience seront obligés de se cacher dans les antres & les forêts, & ne pourront plus administrer les sacremens de l'église qu'au péril de leur vie, nous déclarons le temps pascal ouvert dès-à-présent pour tous les fidèles de la partie de notre diocèse située en France, & nous leur permettons, pour la présente année, de recevoir la communion pascale de la main de tout prêtre qui ne sera pas souillé par la prestation du serment abominable exigé des ecclésiastiques fonctionnaires publics.

Attendu en outre que les circonstances de persécution notoire dans lesquelles nous nous trouvons, ne permettent pas d'employer, pour la signification & la publication de notre présente monition & ordonnance, les formes usitées, nous déclarons que nous regarderons icelles pour suffisamment intimées, dès qu'elles seront notoirement connues dans notre diocèse.

Et, à cet effet, seront les présentes publiées au prône, affichées aux portes des églises dans toute l'étendue de notre diocèse, & par-tout où besoin sera.

Donné à Ettenheim, le 24 mars 1791.

Signé : le cardinal de ROHAN, prince-évêque de Strasbourg.


Extrait : Procès-verbal de l'Assemblée Nationale, imprimé par son ordre - Treizième livraison - Tome cinquante-unième - Rapport fait au nom des Comités des Recherches, Diplomatique, Ecclésiastiques, Militaire et des Rapports, par M. Victor Broglie "sur les troubles occasionnés dans les Départemens du Haut et du Bas-Rhin, par les manoeuvres de plusieurs Ecclésiastiques & autres particuliers, et notamment par M. de Rohan, ci-devant Évêque de Strasbourg - 1791

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