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La Maraîchine Normande
13 janvier 2016

DAMPIERRE-LEZ-MONTBOZON (70) - CLAUDE-FRANCOIS GALMICHE, PRÊTRE (1745-1798)

Fils de François Galmiche, laboureur, et de Jeanne-Claude Simon, Claude-François est né à La Villedieu-en-Fontenette (70), le 5 juin 1745 et baptisé le lendemain.

 

acte naissance Claude-François Galmiche

 

GALMICHE, prêtre
4 pluviôse an VI - 23 janvier 1798
Insermenté, né à Villedieu-en-Fontenette (Haute-Saône), d'abord vicaire à Calmoutier, puis curé à Dampierre-lez-Montbozon. Se retire en Suisse, à Estavayer. Il rentre, est arrêté après fructidor et transféré à Vesoul. Il comparut, le 24 novembre 1797 devant l'administration centrale de la Haute-Saône, qui lui fit subir un long interrogatoire.

 

Claude-François Galmiche portrait


INTERROGATOIRE

Extrait des minutes du département de la Haute-Saône.
L'an VI de la République française, une et indivisible, le 4 frimaire. (24 novembre 1797)

Par devant l'administration centrale du département de la Haute-Saône et dans la salle ordinaire de ses séances, a été amené par les citoyens Duguet, maréchal des logis et Carroz, brigadier de gendarmerie nationale stationné à Vesoul, le nommé GALMICHE, prêtre déporté et arrêté ce présent jour, auquel nous avons demandé ses nom, prénoms, âge et détature (sic) (état).

A répondu qu'il se nomme Claude-François Galmiche, prêtre, ex-curé de Dampierre-lez-Montbozon.

D. A lui demandé depuis quel temps il est rentré sur le territoire de la République. - A répondu qu'il y a rentré depuis deux ans et demi.

D. Quelles sont les communes qu'il a habitées depuis, et quels sont les citoyens qui lui ont donné asile ? - R. Qu'il a roulé (sic) les paroisses de Dampierre, de Soutenoi, de Presle ; que Ignace Galmiche, son oncle, domicilié à Dampierre, lui a donné plus ordinairement asile dans cette commune ; mais qu'il refuse de désigner les noms des citoyens des autres communes qui lui ont donné asile.

D. S'il a célébré son culte soit publiquement soit dans des maisons particulières ? - R. Qu'il l'a célébré souvent à Dampierre, dans l'église même, depuis sa rentrée en France, dans les forêts, et jamais dans aucune maison particulière ni de cette commune ni d'autre ; il ajoute cependant à l'instant qu'il ne se croit pas obligé de déclarer où il a célébré et administré, parce qu'il ne veut pas être délateur.

D. Pourquoi il est entré en France sans autorisation légale ? - R. Que c'était pour administrer aux fidèles les secours spirituels dont ils pouvaient avoir besoin.

Interpellé de déclarer quelle espèce de secours il leur a administrés ? - R. A répondu qu'il a administré le baptême, mariage, confession, pénitence, viatique, extrême-onction.

D. S'il a réadministré les secours spirituels reçus antérieurement de prêtres assermentés ou conditionnels, et s'il n'a pas engagé les chrétiens fidèles de la campagne à regarder ces premiers secours comme des fautes graves commises, en ce que les prêtres qui les avaient administrés, quoique autorisés par les lois de la République, n'avaient aucun pouvoir de le faire. - R. Que cette question regardant le sceau de la confession, il n'avait rien à répondre.

A lui observé que les dernières questions à lui faites n'ont aucune analogie avec le secret ou sceau de la confession, puisqu'il n'y est aucunement question de déclaration à lui faite au tribunal secret de la confession ; il est de nouveau interpellé de donner des réponses catégoriques et précises aux faits qui émanent de lui individuellement, faits qu'il a pu exercer dans les différentes parties du territoire, qu'il s'est permis de rôder (sic) contre le prescrit des lois de son pays.

A déclaré qu'il ne veut attribuer aucune réponse à l'interpellation à lui faite, parce que ces faits regardent le secret naturel de la confession, que les lois naturelles, divines et humaines lui défendent de violer.

Interpellé de déclarer pourquoi il n'a pas obéi à la loi du 19 fructidor dernier, malgré qu'il n'a pu ignorer les recherches qui ont été faites de sa personne depuis lors, dans les communes où il trouvait asile. - R. Qu'ayant appris qu'on ne souffrait point ses pareils dans les pays étrangers, il a préféré rester dans ce pays-ci, et courir les dangers auxquels il était exposé, pour enfin être aussi malheureux dans son pays que dans les autres.

Interpellé de déclarer si, par ses discours faits en public ou dans des sociétés particulières, il n'a pas cherché à empêcher l'exécution des lois de la République ; s'il n'a point provoqué l'établissement de la royauté ; s'il n'a pas engagé les réquisitionnaires à ne pas continuer leur service dans les armées de la République et s'il n'a pas engagé leurs pères et mères à empêcher ceux qui étaient rentrés dans leurs foyers à [abandonner] leurs corps et à user de leur autorité paternelle et maternelle pour engager ceux qui servaient activement dans lesdites armées à quitter leur poste pour ne pas coopérer à la dévastation impie que faisaient journellement les armées de la République, et contribuer au succès de ces armées, en ce qu'il devait affermir le gouvernement républicain. - R. Qu'il n'a jamais provoqué personne aux faits énoncés au précédent article, ni en public, ni en particulier.

D. Si, depuis sa rentrée, il a éprouvé quelque maladie ou infirmité. - R. A répondu que non et qu'il en rend grâces au Seigneur.

D. Si, pendant son long séjour en France, il n'a pas conféré avec des prêtres déportés ou réfractaires sur les moyens d'empêcher le peuple des campagnes d'obéir aux lois du gouvernement actuel. - R. Que tant s'en faut ; qu'il a toujours engagé le peuple à obéir aux lois du gouvernement, les invitant toujours de payer les contributions, réquisitions et le reste.

D. Que sa réponse ne paraît pas conforme à la vérité puisque, de son propre aveu, il a trouvé asile pendant deux ans et demi tant dans la commune de Dampierre que Soutenoi, Presle et autres, qu'il y a même célébré publiquement son culte et administré les sacrements, enfin que tous ces faits étaient proscrits par les lois de la République et qu'il n'a pu, pendant tout ce temps, commettre ces contraventions qu'après avoir séduit et les fonctionnaires publics et les particuliers, au point de les avoir soufferts, sans avoir pris aucune mesure pour les réprimer, et pour le faire arrêter lui-même et le livrer au bras vengeur de la loi offensée. - R. Que, malgré ces observations, il a toujours trouvé asile dans ces communes, et qu'il n'a engagé personne à ne pas se soumettre aux lois de la République, ne prêchant partout que l'Évangile et la doctrine de l'Église catholique, comme il l'a fait depuis vingt-quatre ans qu'il est dans la paroisse de Dampierre.

D. S'il n'a pas regardé les autorités constituées de la République comme illégitimes, et s'il n'a pas manifesté cette opinion à ceux qu'il a fréquentés depuis sa rentrée en France. - R. Qu'il n'avait jamais agité cette question dans aucune conversation et qu'il n'a point manifesté cette opinion.

Interpellé de déclarer s'il a eu connaissance d'une instruction pour Messieurs les missionnaires du diocèse de Besançon, contenant vingt-trois chapitres, dont le premier est intitulé "de la Foi", et le dernier, "des prêtres qui reviennent à résipiscence", dont un extrait lui a été communiqué à l'instant. - R. Qu'il a ouï parler de cette instruction pour se conformer aux rites de l'Église catholique et qu'il a tâché de s'y conformer autant qu'il a pu.

Lui ayant représenté à l'instant trois lettres à l'adresse du citoyen Enchot, dont l'une est recommandée à Ensoli, à Dampierre, lettres qui ont été trouvées sur lui lors de son arrestation, interpellé de déclarer si ce sont bien celles trouvées sur lui. - R. Qu'il les reconnaissait pour être les mêmes, et qu'il les a regardées comme venant de ses supérieurs ecclésiastiques.

A l'instant ces lettres ont été paraphées et signées par lui Galmiche et par le président de l'administration ; enfin le timbre sec, sous couleur noire, de l'administration, y a été apposé "ne varietur".

D. Interpellé de déclarer de qui est la signature A avec paraphe, qui se trouve au bas de chacune de ces lettres ? - R. Qu'il ne sait ce que cela veut dire, et qu'il n'a fait aucun usage de ces lettres.

Interpellé de désigner l'individu dont on a voulu parler dans l'une de ces lettres par les lettres suivantes, écrites en gros caractères : D.C.H. - R. Qu'il ne le peut, n'en ayant aucune connaissance : que les lettres lui ont été remises de la main à la main par des étrangers qu'il ne connaît pas ; qu'il était au milieu des champs, quand elles lui ont été remises par une femme à lui inconnue.

A lui demandé d'indiquer le domicile d'un nommé Vaillaudet, dénommé dans ces lettres. - R. Qu'il ne connaît ni ledit Vaillaudet, ni sa demeure.

D. S'il connaît Viennet et Thévenin dénommés dans ces lettres, ainsi que leurs domiciles ? - R. Qu'il ne sait de qui on a voulu parler.

S'il a approuvé des prêtres dans le département, et de qui il en avait reçu le pouvoir ? - R. Qu'il n'y en avait point approuvé et qu'il n'avait point reçu de pouvoir à cet effet.

S'il n'a pas parfois engagé et même décidé des prêtres constitutionnels à rétracter leurs serments, notamment Vasse, ex-curé de Quenoche ? - R. Qu'il a eu des conversations avec des prêtres constitutionnels sur les matières catholiques de l'Église : que quelques-uns d'eux ont eu des peines et des doutes, et qu'il leur a dit de tranquilliser leur conscience et qu'ils feraient bien ; que, quant à Vasse, il ne l'a pas vu depuis sa rentrée en France.

S'il a connaissance que les prêtres constitutionnels avec lesquels il a conféré des matières de l'Église se sont décidés à tranquilliser leur conscience ? - R. Qu'il y en a qui l'ont fait et d'autres qui ne l'ont pas fait.

Interpellé de désigner les noms de ceux qui l'ont fait ? - R. A répondu que Daval, curé de Roche-sur-Linotte, et Montagnon, curé de Villerspater, ont rétracté leurs serments et qu'il n'en connaît pas d'autres de ceux avec lesquels il a conféré, qui l'ayent rétracté.

Si, dans ses transports de commune à autre, il n'a pas été accompagné de quelques citoyens pour lui servir de sauvegarde ou de guide ? - R. Qu'il roulait jour et nuit, aussi bien seul qu'avec quelqu'un, mais qu'il n'a pas été accompagné dans ses courses.

A lui représenté instamment (sic) (à l'instant) une lettre portant l'adresse suivante : A monsieur, monsieur Galmiche, curé de Dampierre, et interpellé de déclarer s'il la reconnaît pour être celle qui a été trouvée sur lui lors de son arrestation. - R. Qu'il la reconnaît pour être une des quatre trouvées sur lui à cette époque.

Instamment, elle a été paraphée par lui et signée ainsi que par le président de l'administration, et le "ne varietur" y apposé et le même timbre sec.

Interpellé de déclarer le nom de l'auteur de cette lettre, a répondu qu'il ne le connaît pas.

A l'instant encore et en la présence dudit Galmiche, le procès-verbal de son arrestation a été paraphé par ledit président et le même timbre sec apposé "ne varietur".

De suite, ledit Galmiche, ayant été interpellé de dire s'il avait d'autres déclarations à faire, a répondu que non.

Le présent procès-verbal a été fini et clos et signé par ledit Galmiche sur les deux feuillets et par les administrateurs, après lecture. Signé à la minute : CL.-F. Galmiche, prêtre, Petitjean, Rochet, Drouhin, Dubuisson.

L'administration, considérant qu'il est important de s'assurer de la personne dudit Galmiche comme prévenu de plusieurs délits, afin d'assurer aussi l'action de la justice envers lui, arrête, le commissaire du Directoire entendu, que ledit Galmiche sera provisoirement conduit dans la maison de sûreté de la commune de Vesoul.

Fait en séance du département de la Haute-Saône, tenue l'après-midi du 4 brumaire an VI de la République française une et indivisible.

Signé : PETITJEAN, DUBUISSON, DROUHIN, ROCHET, président.
Pour extrait : VUILLEMOT.



Extrait des registres du département de la Haute-Saône

A la séance tenue par l'administration centrale du département de la Haute-Saône, le dix-neuf frimaire an six de la République française une et indivisible (9 décembre 1797), à laquelle ont assisté les citoyens Rochet, président, Dubuisson, Drouhin et Petitjean, administrateurs ;

Vu son arrêté du sept frimaire présent mois, le procès-verbal d'arrestation de Claude-François Galmiche, prêtre déporté, les quatre lettres trouvées sur lui, et le procès-verbal de son audition rappelé dans cet arrêté ;
(Vu l'instruction à Messieurs les missionnaires du diocèse de Besançon, énoncée dans les réponses dudit Galmiche ;
Vu un procès-verbal du treize frimaire, même mois, contenant les renseignements pris sur la conduite dudit Galmiche par le citoyen commissaire nommé à cet effet par l'arrêté du sept frimaire précité ;
Vu enfin un autre procès-verbal du lendemain, des déclarations faites devant le citoyen Rochet, président de cette administration, sur la conduite du même prêtre ;

L'administration centrale, considérant qu'il résulte de ces pièces et qu'il est de notoriété publique que ledit Galmiche, prêtre déporté, est rentré en France depuis environ deux ans et demi, notamment dans le canton de Montbozon ; que, pendant tout ce temps, il a célébré son culte tant dans les églises que maisons particulières et même dans les bois ; qu'il y a prêché des maximes contre-révolutionnaires et qu'il a employé tous les moyens de fanatiser et royaliser le peuple de la campagne, de séduire et d'entraîner même les prêtres sermentés ;
Qu'il a entretenu à cet effet une correspondance suivie tant avec les prêtres réfractaires et qui paraissent résider hors du territoire de la République et être des supérieurs ecclésiastiques, tel que Vaillaudet, dénommé dans lesdites lettres ;

Que ledit Galmiche est un agent très actif du fanatisme et du royalisme ; qu'il a presque totalement corrompu l'opinion publique des habitants du canton de Montbozon et autres environnants ; enfin, qu'il pourrait parvenir à troubler la tranquillité publique s'il restait dans la société, particulièrement dans les lieux où il a exercé sa dangereuse influence, et que déjà, ayant été arrêté par la gendarmerie nationale en l'an IV, il a occasionné un rassemblement qui l'a tiré de force des mains de la gendarmerie et fait évader ;

Considérant qu'il est notoire que les prêtres ont renoué leurs trames, qu'ils infectent de nouveau ce département et y organisent la contre-révolution et la guerre civile et qu'il est de la plus haute importance de prévenir les funestes effets de leurs sinistres projets ;

Considérant, en outre, que ledit Galmiche n'est ni sexagénaire ni infirme ;

Le commissaire du Directoire exécutif entendu,

Arrête qu'extraits du présent arrêté et des pièces y détaillées seront adressés au ministre de la police générale, afin de le mettre à même de faire prononcer la déportation dudit Galmiche, prêtre, par le Directoire exécutif, en conformité de l'article 24 de la loi du 19 fructidor dernier ;

Arrête en outre, que ledit Galmiche restera provisoirement détenu dans la maison de sûreté de Vesoul, jusqu'à ce qu'il en aura été autrement ordonné par le gouvernement.

Et ont les administrateurs signé.
Signé au registre : ROCHET, DUBUISSON, DROUHIN et PETITJEAN
Pour extrait : VUILLEMOT

(Par arrêté du 16 nivôse an VI, l'administration centrale de la Haute-Saône, visant les diverses pièces dont nous avons parlé, l'inscription de Galmiche sur la liste des émigrés et la loi du 19 fructidor, renvoya Galmiche devant une commission militaire et ordonna son transfèrement à Besançon, "sous bonne et sûre garde".


Il comparut le 23 janvier 1798 (4 pluviôse an VI), à dix heures du matin, et fut exécuté [fusillé] le même jour, à trois heures et demie. Sur une petite note annexée, on lit : "Rien à faire ; le nommé Galmiche a été condamné à mort par une commission militaire".)

Extrait de : 18 FRUCTIDOR
par Victor Pierre
1893

Lettre Galmiche à ses paroissiens


LETTRE DE M. GALMICHE AUX FIDÈLES CATHOLIQUES DE LA PAROISSE DE DAMPIERRE-LÈZ-MONTBOZON ET AUTRES.

"Me voici enfin arrivé au moment où j'espère, avec confiance, recevoir de la miséricorde du Seigneur, la récompense des travaux que j'ai soutenus, et du zèle que j'ai exercé au milieu de vous, pour vous soutenir dans la religion catholique. Je prie le Seigneur de vous accorder à tous la grâce d'y persévérer jusqu'à la fin, pour recevoir la même récompense. Puisse le sang que je vais verser, vous l'obtenir ! C'est ce que je ne cesserai de demander à Dieu, si j'ai le bonheur d'être du nombre de ses prédestinés, comme je l'espère des mérites de Jésus-Christ.

Je pardonne de bon coeur, à l'exemple de son Sauveur à tous ceux qui peuvent être les auteurs de ma mort, ou peuvent y avoir contribué de quelque manière que ce puisse être.

Je laisse mon cher oncle, à qui, je suis infiniment reconnaissant et redevable, au milieu de vous ; consolez ce vieillard qui m'est si cher, et qu'il finisse ses jours au milieu de vous.

Je vous ai toujours dit, à l'exemple de Saint-Paul, que non seulement j'étais prêt d'être lié et garotté, mais encore de mourir pour le Nom de Jésus ; ce moment est arrivé ; mes voeux, mes désirs, sont exaucés. Je meurs innocent de tout ce dont on m'accuse ; que le Seigneur me fasse pardon et miséricorde de tous les autres péchés que j'ai pu commettre, pendant ma vie, contre son infinie Majesté. Je reconnais que, s'il voulait me juger selon sa justice, je serais bien à plaindre ; mais j'en appelle à ses miséricordes et je compte sur ses bontés.

Je vous demande donc pardon, mes chers paroissiens, s'il m'est arrivé de ne pas remplir tous mes devoirs envers vous, de ne pas vous avoir édifiés comme j'aurais dû, ou de vous avoir causé quelques peines pendant tout le temps que la divine Providence m'a laissé au milieu de vous.

Je me recommande à vos prières, et vous promets d'intercéder pour vous auprès du Seigneur, s'il veut bien m'admettre avec ses saints dans le séjour de sa gloire. Ainsi soit-il.

Midi, dans les prisons de Besançon, le 23 janvier 1798, jour de mort prononcée et exécutée."

Claude-François Galmiche, Prêtre, Curé de Dampierre.

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Commentaires
K
Martyr de la foi en Dieu et en Jésus-Christ, que n'est-il depuis longtemps béatifié ?
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