Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La Maraîchine Normande
18 janvier 2013

L'ABBÉ MANET DE SAINT-MALO ♣ SES OEUVRES POETIQUES

Dans le cimetière de Saint-Malo, à gauche, vers le milieu de l'allée centrale de la partie ancienne, au milieu d'herbes folles qui dissimulent sa tombe, repose le corps de vénérable et discret Messire Manet, en son vivant, chapelain de l'Hôtel-Dieu de Saint-Malo, chanoine du diocèse de Rennes, Membre de l'Institut Historique, de nombreuses Sociétés savantes, ancien Directeur du Collège de Saint-Malo, etc ...

La pierre funéraire n'indique pas ces titres, à quoi bon ! Simple fut sa vie, mais combien laborieuse ! Et selon ses dernières paroles, l'épitaphe du docte vieillard nous enseigne seulement qu'il dort en paix, "dans l'attente de la bienheureuse résurrection".

Plus d'un demi-siècle s'est apesanti sur la mémoire du "bénédictin malouin". C'est à peine si quelques anciens se rappellent avoir rencontré le bon abbé Manet, allant à la cathédrale, le chapeau haut-de-forme penché légèrement en arrière et découvrant un front large, auréolé de cheveux blancs.

Le souvenir de l'abbé Manet a donc presque disparu, mais ses livres sont restés, accusant une puissance de travail extraordinaire, secondée par une profonde érudition.

Ses manuscrits sont moins connus ; les archives de la ville de St-Malo en possèdent la plupart, copies d'oeuvres imprimées et feuilles éparses, nombreuses et non classées. Trois liasses sont en ordre et portent le titre "Grandes recherches".

Les historiens du Clos-Poulet connaissent ce recueil chronologique des évènements historiques de notre pays : il leur est un guide précieux, et si l'exactitude dans le document ne fut pas la qualité dominante de notre auteur, on doit constater que le colossal travail de l'abbé Manet ne pouvait lui permettre que difficilement de contrôler aux sources tous les documents qu'il recevait, tous les récits qu'il glanait un peu partout.

Et malgré ses inexactitudes, l'oeuvre de l'Abbé Manet restera, - jusqu'à ce que le temps en ait raison - une véritable encyclopédie bonne à consulter, d'autant plus intéressante parfois, qu'il eût certainement entre les mains des documents détruits pendant la Révolution.

L'Abbé Manet naquit à Pontorson, le 15 janvier 1764. A l'âge de 80 ans, il écrivait encore : Ce fut donc un vaillant.

Nous ne connaissions que l'Abbé Manet historien, et nous fûmes bien surpris de trouver aux Archives de Saint-Malo, un volume in-folio de 276 pages manuscrites, classé sous le titre de "Poésies de l'Abbé Manet".

Après avoir ouvert ce livre qui débute par cent quarante sept fables sans intérêt, nous abordâmes la deuxième partie qui nous dédommagea amplement de la lecture plutôt fastidieuse des premières pages.

Cette deuxième partie est intitulée : VARIETES PHILOSOPHIQUES, MORALES ET BADINES, en prose et en vers :

FRAGMENTS ECHAPPES AU VANDALISME

PAR M.F.G.P.B. MANET - PRETRE DE ST-MALO

Dans l'avant-propos, l'abbé Manet s'exprime ainsi :

"Les bagatelles qu'on va lire, sont en quelque sorte des tisons retirés d'un vaste incendie. Elles ont été composées dans un tems où la trombe révolutionnaire qui s'est promenée tant d'années sur la France, y versait à grands flots l'épouvante, la désolation et la mort ; dans une ville où le démon du terrorisme avait un agent en chef, qui m'avait marqué du sceau de l'anathème ; à une époque, enfin, où, loin d'avoir sous les yeux ces scènes attendrissantes et douces qui éveillent la pensée du poète, je n'entendais jour et nuit autour de moi que le bruit des tambours et des tocsins qui murmuraient dans les airs des sons de désastre et de carnage.

Proposer au public ces bluettes pour des productions dignes de l'intéresser beaucoup, ce serait vouloir se rendre archi-ridicule à ses yeux ; les lui offrir comme autant de "lunettes phosphoriques" qui pourront peut-être l'amuser en quelques moments de loisir ; c'est à quoi s'est borné toute son ambition". etc.

Nous laisserons de côté la prose qui comprend des paraphrases aussi bien que de grivoises anecdotes et cependant si nous voulions dépasser le cadre restreint que nous nous sommes imposé, nous publierions une longue et lugubre page "l'Ossuaire", que l'Abbé Manet fait précéder de ces mots :

"C'est véritablement dans la fosse de la mort, que ce morceau a été conçu. Jamais peut-être personne, poursuivi pour sa vie, n'a cherché d'asile plus affreux, que celui où je me jetai pendant quelques moments, au commencement de 1793. C'était un tas énorme d'ossements et de squelettes presque entiers, qu'on avait extraits quelques années auparavant des décombres d'un vieux cimetière, et où je m'étais préparé une cache au besoin ..."

Ces lignes nous éclairent sur l'état d'esprit de l'Abbé Manet, et l'on s'étonnerait à bon droit de trouver des poésies badines à la suite d'élégies funèbres, si l'on ne pensait que ce savant prêtre réunit et recopia la Révolution, - ce temps de chômage forcé - les pages de ses heures d'inspiration.

I

L'Abbé Manet est souvent caustique, surtout quand il parle de ses collègues assermentés. Il ne peut souffrir Caron, le curé constitutionnel de Paramé, son curé, puisqu'il se cachait le jour en cette commune, dans la ferme de la Bournaye. Aussi lui décochait-il cette épigramme :

Pourquoi montrer tant de surprise :

Petit nocher de la nouvelle église,

En voyant tous les bancs déserts à ton sermon ?

Peut-on là, conviens-en, si ta bouche est sincère :

Peut-on à la barque de Pierre

Préférer la barque à Caron ?

Une autre épigramme dans le même genre adressée à un prêtre qui "avait juré, abjuré et rejuré la Constitution prétendue civile du clergé" :

Quelques gens m'ont paru surpris

que Lycas ait sitôt repris

L'ornière qu'il avait naguère abandonnée,

Mais c'est à tort qu'on s'étonne à mon sens !

Doit-on jamais s'attendre à voir durer long-tems

Une casaque retournée ?

Plus loin, l'Abbé Manet nous dépeint ses contemporains sous un jour peu favorable ; il nous indique les qualités requises en 1792 pour mériter un certificat de civisme :

Haïr Dieu, renier la foi,

Pillet l'Eglise avec furie,

Presser l'assassinat du roi

Et de sa famille chérie.

 

Vivre sans joug, sans frein, sans loi,

Dans une entière barbarie ;

Ne penser, n'agir que pour soi,

En parlant beaucoup de patrie.

 

Livrer aux flammes les châteaux,

Torturer de faibles dévots

Changer selon son gré d'épouse,

 

Bref, se montrer un franc vaurien,

C'était être, bon citoyen,

Sur la fin de quatre-vingt-douze.

Après nous avoir initié aux vertus de citoyens, l'Abbé Manet nous donne à penser que les gouvernants ne valaient guère mieux ; dans l'épigramme suivante, il critique spirituellement le pouvoir législatif de l'époque :

Tous les deux attelés au char de la fortune

Mais tous les deux loin de s'y voir assis,

Guillot et Colinet cheminaient vers Paris ;

Ils avaient fait bourse commune.

Nous avons tous un grain d'ambition,

Depuis le cordon bleu jusqu'au dernier ponacre,

"Je vais - disait Guillot - chercher condition

Et moi - reprenait l'autre - être garçon de fiacre."

Quelqu'un qui les suivait et qui les entendit,

Les interrompit et leur dit :

"Je crois, mes bons enfants, que vous aimez les pièces."

- Oui-dà, Monsieur - "Eh bien si vous voulez des espèces,

Suivez mon avis, il est bon :

Faites-vous député de la Convention".

L'Abbé Manet voulait-il insinuer que les élus d'alors connaissaient le vulgaire pot-de-vin ? Peut-être ! Et c'était sans doute un député de la Convention, ce M. Dargentreux qui s'attira cette épigramme :

On soutient, Monsieur Dargentreux

Que vous êtes sans conscience !

Mais moi qui vous en connais deux,

Je sçais ce qu'il faut que j'en pense !

La conscience, même littéraire, ainsi qu'aujourd'hui, n'était pas le fait de tout le monde. Le citoyen C... s'était avisé de lancer un quatrain dont il s'attribuait la paternité ; mais l'érudit Abbé ne pouvait laisser passer cette occasion d'exercer sa verve ; il lui envoya les vers suivants :

Mon cher C***, ton quatrain est fort beau !

Mais entre nous, soit dit sans te déplaire

Tu devrais mettre en bas le nom du grand Boileau,

Puisqu'il s'était donné la peine de le faire !

Il ne faudrait pas croire que la réclusion poussât constamment l'âme de l'Abbé Manet à la mélancolie ; nous n'en voulons comme preuve que ce sonnet badin :

Complaisante Zulmé, de grâce, écoutez-moi !

Mon état est affreux ; je souffre un dur martyre,

Un mal, un mal secret que je n'ose vous dire

Mais qu'à mon air gèné vous soupçonnez, je croi.

 

D'un mot, vous me pouvez rendre heureux plus qu'un roi,

Si vous me refusez, dans le moment j'expire ;

Vous n'avez jamais sçu ce que c'est qu'éconduire ;

N'allez donc pas, Zulmé, me donner un renvoi ! ...

 

Eh quoi ! Vous rougissez ? Vous riez de ma peine ?

Ah ! je m'en aperçois, agréable inhumaine

Vous ne devinez point quel est mon embarras !

 

Parlons donc clairement, sauf votre révérance,

Puisqu'en termes couverts vous ne m'entendez pas ...

Où trouve-t-on, céans, le cabinet d'aisance ?

II

En souvenir de l'évêché de Saint-Malo, les prêtres de cette ville ont longtemps conservé l'habitude de porter de superbes chapes aux processions. Celle de l'Abbé Manet se distinguait par sa splendeur qui faisait l'admiration des bambins.

Cette chape rutilante d'ors, attirait par son éclat l'attention de tout un essaim de vieilles dévotes qui portaient les prénoms harmonieux de Lise, Eglé, Laïse, Cloris, etc ...

L'Abbé Manet, bavard comme une malouine de l'ancien temps, se moquait de leurs travers. Il avait même parfaitement étudié ses pénitentes et il en traçait le portrait suivant, intitulé pompeusement :

Anatomie morale de la femme

Au dedans, grand fond de malice,

Caché sous un air de bonté ;

Un goût vif pour la volupté

Mais tempéré par le caprice.

 

Au-dehors, beaucoup d'artifice,

Bien plus encor de vanité,

Peu de sincère piété,

Forte dévotion factice.

 

Bon sens très court, babil constant ;

En un mot, orgueil et néant

Habilement fondus ensemble :

 

Lecteur équitable et bénin,

Voilà le sexe féminin !

Franchement, là, que vous en semble ?

Il nous semble, franchement, que le poète exagère ; ne serait-ce pas là, plutôt, le portrait de quelque jacobine endiablée, de ces "effrenées patriotes" à qui le pro-consul Le Carpentier confia la direction de l'hospice des "sans-culottes", et dont les scandales émurent la conscience même des terroristes.

Cependant, l'Abbé Manet n'était pas toujours aussi sévère ; parfois, sa poésie prenait un tour plus gracieux, et quoique son but fût toujours l'épigramme, il n'en tournait pas moins un jour ce

RONDEAU

contre une vieille qui voulait encore paraître jolie.  

Après l'automne, il n'est point de fauvettes

Dans nos bosquets, qui fassent les coquettes,

Le froid d'hyver amortit tous leurs feux,

Change leurs airs agaçants, amoureux,

En sons plaintifs, en tristes chansonnettes,

 

Souventes fois même, on les voit, muettes,

Au fond des bois s'aller cacher seulettes

Autant en font leurs amants langoureux

Après l'automne !

 

Ont-elles tort ces aimables folettes ?

Non ! la saison de conter des fleurettes,

C'est le printemps et l'été chaleureux.

Après cela, chacun prend ses enjeux

Et se retire ... - Or çà, Lise vous êtes

Après l'automne !

C'était surtout après avoir fait le tour des remparts que l'Abbé Manet prenait la plume. Bien souvent cette classique promenade lui fournissait matière à critiquer, et c'est ainsi, après avoir rencontré deux demoiselles, dont l'une était parfaitement laide et l'autre extrêmement belle, qu'il rima cet impromptu :

O providence généreuse,

Tu n'agis jamais sans raison !

Près de la plante venimeuse

Naît toujours son contre-poison.

Un autre jour, Lise lui inspira ce quatrain :

Laide et ratatinée, Lise versait des larmes.

En tachant d'aplanir les rides de sa peau.

"Amour s'écriait-elle, ah ! prête-moi tes charmes !"

Ou, reprit un plaisant, "prête-moi ce bandeau !"

Puis Eglé qu'il rencontra plus loin avec une épaisse voilette sur le visage, lui permit d'écrire ces vers, à la suite des précédents :

Pour jeter encore quelques flammes,

Eglé, la plus laide des femmes

Cache soigneusement son teint,

Précaution, s'il en fut, inutile !

Car que veut-elle, l'imbécile,

Qu'on craigne d'un tison éteint ?

C'est après, le tour de Cloris qui avait la déplorable habitude de se farder :

Cloris au teint flétri, tous les jours s'enfarine,

De la céruse la plus fine,

Et d'un vermillon vif s'illumine la peau,

Mais à quoi tant de soin, chétive créature,

Jamais papillon bel et beau

S'est-il allé brûler à des feux en peinture ?

Et pas une de ses pénitentes n'échappera à sa verve intarissable. Loïs devenue veuve ne pourra supporter gaiement son veuvage sans que l'Abbé Manet la fustige :

A tort, Laïs, tu fais trophée

Qu'au delà du tombeau Lycas t'aimera fort !

Car, de tous les maris, l'on ne cite qu'Orphée

Qui soit allé chercher sa femme après sa mort.

Mais il saura bien reconnaître à l'occasion que le beau sexe n'est pas toujours le plus heureux, et sur la tombe d'une femme, il tracera cette épitaphe :

Cy dort en paix, enfin, Madame Taillefer,

A qui Dieu doit le Ciel en rigueur de justice ;

Car, pourrait-il punir de l'éternel supplice

Celle qu'un dur mari tint vingt ans en enfer !

III

L'Abbé Manet excellait surtout à faire des épitaphes. Il nous en a laissé un grand nombre, véritable cimetière philosophique ; nous choisissons les meilleures :

Sous ce rustique monument,

Sert de pâture aux vers maître Jean Bucailles,

Il en faisait de son vivant,

De fort beaux ... au pied des murailles.

 

Ci-gît, qui, par un triste sort,

Après vingt jours de maladie,

Mourut, non de sa belle mort,

Mais de sa belle vie.

 

Ici tout de son long est maître Jean Duval,

Son ventre était son Dieu ; son église, une auberge ;

La table, son autel ; la bouteille, son cierge ;

Et son patron, Saint Carnaval.

 

Cy-gît qui fit bien du mal de sa vie :

Car à mourir n'étant pas des premiers,

Il fit sécher de langueur et d'envie,

Presqu'un monde entier d'héritiers.

 

Enfin, après soixante ans révolus,

Clitus vient de passer sur le rivage sombre,

Bonnes gens qui vivez de craintes et d'abus,

Ne vous effrayez pas du retour de son ombre !

Je vous en suis garant, croyez-moi sur ce point :

Son esprit ne reviendra point !

De l'esprit, comme on vient de le voir, l'Abbé Manet n'en manque pas ; il en prête même aux gens de la campagne :

"Pais donc là, paix donc là Messieurs les avocats"

Criait un juge en pleine audience.

"Vous feriez croire à l'assistance

Que nous ne nous entendons pas."

"- Non, non, de ceci n'ayez cure,

Monsieur le juge, poursuivez,

Dit un manant qui, là, se trouvait d'aventure,

Je savons bien que vous vous entendez !

Si nous ne savions, avec certitude, que l'abbé Manet était natif de Pontorson, nous lui donnerions comme berceau les rives de la Garonne. Ecoutez plutôt cette anecdote :

Deux biberons gageaient à qui mentirait mieux.

"Hier la nuit, dit l'un, je volais dans les cieux,

Et fut de ce côté mettre un clou dans la lune ..."

- C'est vrai, Messieurs, dit l'autre en prenant la pécune,

Mon ami ne ment pas : après lui je montai,

Et ce célèbre clou, c'est moi qui le rivai.

Et pour terminer, nous citerons une dernière épigramme adressée à ce Lycas qui devait être la bête noire de l'abbé Manet :

Tu viens, Lycas, de faboter un livre !

L'essentiel maintenant c'est d'en trouver le débit.

Veux-tu croire quelqu'un qui vise à ton profit ?

Va vite le vendre à la livre !

Si l'abbé Manet avait suivi le conseil qu'il donne, la vente de ses manuscrits lui aurait assuré une retraite honorable. On peut difficilement concevoir qu'un homme puisse dans une carrière, aussi longue soit-elle, embrasser et traiter un aussi grand nombres de sujets que le fit l'abbé Manet.

Il aborda tous les genres, fut entre temps, vicaire et chef de l'Institution de St-Malo, lauréat de la Société royale et Géographique de France, et contribua de toutes ses forces à répandre la fable de la "fatale autant qu'extraordinaire marée de 709".

Comme poète, l'abbé Manet ne se cantonna pas dans le genre badin, il produisit en ses dernières années, un recueil de cantiques, quelquefois naïfs, mais toujours empreints de la foi la plus vive.

Ses épigrammes étaient trop mordantes, pour qu'il n'en reçut pas de blessures, par ricochet ; de son vivant, il connut la critique et s'éleva contre "cette classe de censeurs qui n'ont d'éloges que pour les rimes ébouriffées de nos Muses modernes" ; ceci, à propos de son recueil de cantiques publié en 1843, car il ne fit pas imprimer ses poésies profanes, qui ont aujourd'hui la saveur de l'inédit et des temps disparus.

Que ses mânes me pardonnent de livrer ses oeuvres intimes à ceux qu'il appela dans une rageuse préface "les maringouins de la littérature" toujours prêts, selon l'expression triviale de Montaigne, "d'accourir s'entr'échauder à qui donnera le mieux sur votre nez une croquinole à Hérodote, à Diuodore ou à Tite-Live."

JULES HAIZE

Annales de la Société historique

et archéologique

de l'arrondissement de Saint-Malo

1901

Publicité
Commentaires
S
Bonjour M. Rieu<br /> <br /> Merci pour votre commentaire, mais, hélas, je n'ai aucune information concernant ce cadran. Un de mes lecteurs pourra peut-être vous aider à répondre à cette question, je vous le souhaite en tout cas.<br /> <br /> Bonne continuation.<br /> <br /> Cordialement.<br /> <br /> Shenandoah.
Répondre
J
Savez-vous ce qu'est devenu le cadran solaire équatorial construit par l'abbé Manet ? Ce cadran en ardoise était dans le musée qui a été bombardé en 1944. Où est-il aujourd'hui ? J'ai un article écrit par J. Hourrière en 1982 et diffusé oar la commission des Cadrans solaires de la société Astronomique de France, mais je voudrais en savoir un peu plus, travaillant mi-même sur un de ses contemporains, l'abbé Guyoux (1793-1869) qui a apporté une amélioration fondamentale aux cadrans comme celui de Manet.<br /> <br /> Merci pour toute information.<br /> <br /> En retour, je peux en dire plus sur guyoux.<br /> <br /> Cordialement.<br /> <br /> Jean Rieu 0682024192
Répondre
La Maraîchine Normande
  • EN MÉMOIRE DU ROI LOUIS XVI, DE LA REINE MARIE-ANTOINETTE ET DE LA FAMILLE ROYALE ; EN MÉMOIRE DES BRIGANDS ET DES CHOUANS ; EN MÉMOIRE DES HOMMES, FEMMES, VIEILLARDS, ENFANTS ASSASSINÉS, NOYÉS, GUILLOTINÉS, DÉPORTÉS ET MASSACRÉS ... PAR LA RIPOUBLIFRIC
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Newsletter
Archives
Derniers commentaires
Publicité