3 septembre 2012

Le Monarque l'a reçue à son arrivée à Calais.   Adresse des royalistes du canton de *** "SACREE MAJESTE, Quel jour pur et serein commence enfin à luire sur la France ! Sire, il est donc vrai qu'après vingt-cinq ans de désordre et d'anarchie, le crêpe funèbre qui couvrait ce royaume désolé vient d'être déchiré par des mains généreuses et magnanimes ! Il est donc vrai que le joug le plus dur et le plus humiliant est brisé pour jamais, et que le pur sang de Henri IV vient enfin effacer la honte attachée depuis si long-temps... [Lire la suite]

Liste des généraux et autres principaux officiers vendéens et chouans qui ont fait les campagnes de 1793, 1794, 1795, 1796, 1799, 1915, ainsi que celle des généraux républicains qui ont combattu les Vendéens, et des représentants du peuple en mission en 1793 et 1794, en Poitou, en Anjou, en Bretagne et en Normandie. NOMENCLATURE DES OFFICIERS VENDÉENS QUI ONT SERVI DANS LES CAMPAGNES DE 1793, 1794, 1795, 1796, 1799, 1815.   GENERALISSIMES   MM. Cathelineau (Jacques, du Pin-en-Mauges) en 1793    ... [Lire la suite]

Charles comte de Tryon est un militaire français, colonel chef d'Etat Major de la 2 e Division d'Infanterie. Issu du ancienne famille d'extraction chevaleresque venue d'Ecosse avant le XIII e siècle, Charles de Tryon est le fils de Joseph de Tryon et de Françoise de Brettes (fille du Marquis Joseph-Martial de Brettes et d'Anne de Cognac). Il est né en 1773 au château de Salles, commune de Chassenon, en Limousin (actuellement dans le département de la Charente), il a été élevé par un précepteur jusqu'à l'âge de 12 ans. Trois ans... [Lire la suite]

Cyrille Jean Joseph Lavolvène, dit Chevalier de la Volvène, alias Paraillousky, Paraillusky ou Parallowski (°~ 1765 Agen - † 23 janvier 1800 Meslay-du-Maine), est un militaire français des armées royales qui prit part aux combats de la chouannerie en Mayenne. Sorti officier d'artillerie de l'École militaire de Brienne, il émigra, servit dans l'armée des Princes, rentra en France en 1795, muni d'un brevet de chirurgien, mais fut arrêté au Havre et remis aux gendarmes pour être conduit de brigade en brigade à Toulouse. Les... [Lire la suite]

Sous l'Ancien Régime il devint séminariste malgré lui. ♣♣♣ Sous la Révolution♣♣♣ Lorsque la Révolution éclate en 1789, Ange Pitou en profite pour s'émanciper et devenir journaliste au Journal général de la cour et de la ville. Il se fait remarquer par des brochures en faveur de Thomas de Mahy de Favras. Le 10 juin 1790, il est appelé aux Tuileries, où Marie-Antoinette d'Autriche le félicite pour sa fidélité envers le roi. Elle lui fait présent de son portrait en miniature et d'une somme d'argent. Conquis par la reine, Louis Ange... [Lire la suite]

Homme d'un sang très-noble sans doute, mais qui s'est toujours opposé à la liberté de ses semblables, en Europe par ses intrigues, en Amérique par ses armes, en Afrique par les moyens combinés du bambou et des bloody-hounds (chiens de sang). Ce n'est pas sans frémir que l'on se détermine à tracer une vie consacrée toute entière à étouffer la liberté. Né en Ecosse, dans ce comté de Tife, où tant d'hommes courageux avaient péri pour l'indépendance de leur pays, lord Balcarras servit d'abord sous Burgoyne, aux Etats-Unis ; repassa en... [Lire la suite]

  Né le 29 septembre 1785, fils de Gracchus-Babeuf, qui, lors du procès de Vendôme, était âgé de 12 ans. L'accusateur public, Vieillard, voulut se prévaloir de sa correspondance, saisie dans les papiers de la conspiration, comme circonstance agravante ; l'accusé appela l'indignation publique sur cette atroce intention de rendre un fils témoin à charge contre son père ; ce fut ce même fils qui lui apporta, au milieu des gendarmes, le poignard avec lequel il se frappa mortellement, en faisant des voeux pour que ses enfans... [Lire la suite]

Nicolas-Jean Hugon de Basseville vint à Paris en 1775. Il avait de l'instruction, et se trouvant sans fortune, il vécut pendant plusieurs années en faisant quelques éducations particulières. C'est alors qu'il composa pour ses élèves ses "Elémens de mythologie". La révolution ayant éclaté, il en un fut un des plus zélés partisans et s'associa avec Carra, Mallet-Dupan, O-Kéralio, et mademoiselle Kéralio, etc., pour la rédaction du Mercure national, ou Journal d'état et du citoyen, dont le premier numéro parut le 31 décembre 1789, et le... [Lire la suite]